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7.
WĂƐĐĂů WĂŽůŝ ;ϭϳϮϱͲϭϴϬϳͿ͘
'ĠnĠral de la naƟon corse. LeƩre siŐnĠe à un ami ;au comte Zivarola selon PerelliͿ, ErbalunŐa, le 8 mai
1764.. Ϯͬ3 p. in-4°.
Le &ranĕais, Ƌue vous avenj recommandĠ, se rend à nouveau ici pour mieudž Ġtablir avec ses amis ce Ƌui les saƟsferait et pour s’entendre
avec eudž au sujet de l’edžĠcuƟon la plus sƸre de leurs projets. Le baron <leist s’embarƋue lui aussi pour Eaples. e pauvre jeune homme
est bien à plaindre, s’il doit se rendre dans un pays oƶ acchus n’a jamais eu ni temples, ni orateurs. Je suis rempli de confusion pour lui
en pensant à ses ƋualitĠs et aussi à ses compĠtences en maƟğre militaire. Je lui ai fait donner une belle somme d’arŐent pour Ƌu’il puisse
arriver à Eaples en meilleur Ġtat Ƌue lorsƋu’il est arrivĠ ici. ^i jamais des oĸciers oriŐinaudž comme celui-ci voulaient venir en orse, je
vous prie de les dissuader de faire ce voyaŐe. J’Ġcrirai à une autre occasion à Madame la Moniale͙
/l francese, vostro raccomandato, ritorna altra volta cosƠ per concertaremeglio con i suoi amici quel che piƶ loro convenga e comďinar seco
loro la esecunjione piƶ sicura de’ loro progeƫ. /l ďarone <leist anch’egli si imďarca per Napoli. Yuesto povero giovine è da compiangersi
assai, se pur non si porta in qualche paese dove acco non aďďia mai avuto né temp[l]i, né oratori. /o son pieno di confusione per lui
pensando alla sua qualită ed ancora alle cogninjioni che avea nel militare. 'li ho faƩa dare una competente parƟta di danaro perché ei
possa arrivare a Napoli piƶ in istato di quel che venne qui. Se mai di quesƟ фcapiх originali ne volessero altra volta venire in Corsica, vi
priego di dissuadergli un tal passo͙
750 - 850 €
8.
WĂƐĐĂů WĂŽůŝ ;ϭϳϮϱͲϭϴϬϳͿ͘
'ĠnĠral de la naƟon corse. LeƩre siŐnĠe ;au comte Antonio Zivarola selon PerelliͿ, le Ϯ octobre 1764. Ъ
paŐe in-4°. ^ans en-tġte, peut-ġtre anciennement dĠcoupĠ.
Au sujet de l’envoi des ŐanjeƩes, recommandĠ par l’abbĠ ZosƟni. ;L’abbĠ ZosƟni avait la charŐe de l’ĠdiƟon des ZaŐŐuaŐli, premiğre
ŐanjeƩe imprimĠe en orse à parƟr de l’imprimerie mise en place par le Őouvernement naƟonalͿ.
all’aďďate RosƟni mi viene raccomandato l’involto dell’acchiuse ganjnjeƩe, acciž le inviassimo al piƶ presto. /o, non essendovi occasione
di scriver noƟnjie, che non ve ne sono, mi prevalфgхo di questa opportunită per ricordarle la perfeƩa sƟma con cui sono͙
700 - 850 €
9.
WĂƐĐĂů WĂŽůŝ ;ϭϳϮϱͲϭϴϬϳͿ͘
'ĠnĠral de la naƟon corse. LeƩre siŐnĠe ;au comte Antonio Zivarola selon PerelliͿ, Patrimonio, le Ϯ7 juin
1765. Ъ paŐe in-4°.
/l demande à son correspondant de prendre toutes les disposiƟons aĮn Ƌue les leƩres ci-jointes parviennent à leur desƟnataire. e sont
celles du frğre de l’abbĠ ArriŐhi dĠcĠdĠ, Ƌui recommande ses peƟts enfants à la protecƟon du procurateur Morosini, craiŐnant Ƌue le
plus Őrand d’entre eudž ne prenne une mauvaise pente.
si prego colla maggior cautela e sollecitudine prender le misure che le acchiuse arrivino al loro desƟno. Sono queste del fratello del fu
aďďate Arrighi che raccomanda i suoi piccoli Įgli alla protenjnjione del procurator Dorosini, avendo qualche sospeƩo che il maggiore di
loro non prenda caƫva piega. Sono colla solita perfeƩa sƟma
700 - 850 €
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