36
81.
LITTÉRATURE C-F
. Environ 200 lettres ou pièces, la plupart L.A.S.
200/300
Jean Cabrol, Arman de Caillavet, Alfred Candessus (26 à Henri Béraud), Fernand Calmette, Elme Caro, Robert Cardinne-
Petit, Gérard de Catalogne (10), Philippe Chabaneix, Pierre Chaine, Pierre Chanlaine, Antoine Charma, André Chevrillon (4),
Maryse Choisy, Georges-Emmanuel Clancier, Jules Claretie (8), Charles Clarisse (3), Anatole Claveau (3), Jean des Cognets
(3), Gustave Cohen (2), Jules Comte, Émile Condroyer, François Coppée, Michel Corday, Léon Cornudet, Pierre de Coulevain,
Francis de Croisset (9 + télégrammes), Damas-Hinard, Pierre Decourcelle (2), Christian Dédéyan, Casimir Delavigne (défaut),
Léopold Delisle, Édouard Delpit, Albert Demazière (2), Pierre Descaves, Charles Deslys (5), Léonce Detroyat (2), Prosper Diard,
Charles Didier, Anselme Dimier (4), Jean Dolent, Roland Dorgelès (2), Jean Dorsenne (4), René Doumic (4), Évariste Dumoulin
(5), Adolphe Dupeuty (2), Marie-Jeanne Durry, Henri Dutheil (4), Henri Duvernois, Louis Énault (2), Paul Eudel (5), Émile
Fabre (3), Ferdinand Fabre (2), Émile Faguet (2), Maurice de Faramond, Claude Farrère, Charles de Feletz (4), Charles-Théophile
Ferret (2), Max Fischer (2), Albert Flament (2), Théo Fleischman, Auguste Caumont de La Force (4), André Foulon de Vaulx (2),
Henri Fouquier, André de Fouquières, Édouard Fournier, Léon Frapié, Charles Fuster (2), etc.
82.
LITTÉRATURE G-O
. Environ 200 lettres ou pièces, la plupart L.A.S.
200/300
Yves Gandon (3), Gilbert Ganne, Paul Géraldy, José Germain (6), René Gignoux, Paul Ginisty, Edmond Gondinet (4),
Georges Goyau (3), Fernand Gregh, Charles Grolleau (2), Pierre Grosclaude, Gustave Guiches, Ernest Guinot, Jean Guirec (3),
Léon Halévy, Ludovic Halévy (2), André Hallays (2), Maurice Hamel (6), Ernest Havet, Claudius Hébrard (3), Edouard Helsey
(20), Maurice Hennequin (3), Jacques Henric, Philippe Hériat, Charles d’Héricault (4), Henry Houssaye (2), Louis Huart (2),
Félix Jahyer, Jean-Bernard, Joseph Jolinon (2), Marcel Jullian (9), Jean Jullien, Jules Labbé, Georges Lafenestre (2), Étienne
Lalou, René Lalou (13), Henri de Lapommeraye (2), Pierre Lasserre (5), Antoine de Latour (3), Pierre Laurentie (3), Charles
Lavollée (2), Alexandre Laya (3), Hermine Lecomte du Nouÿ, Yves-Gérard Le Dantec, Ernest Legouvé (3), André Legrand-
Chabrier, Eugène Le Mouë1, Henri-René Lenormand, Pierre-Jean Lesguillon, Maurice Levaillant, Camille du Locle, Jacques
de Lourdoueix, Ossip Lourié, G.A. Lumbroso, Henry Lyonnet, Maurice Magre, Maurice Maindron (envoi), Albert Malet
(manuscrit), Henry Malherbe, Félicien Mallefille, Aristide Marie, Jeanne Marni, René Martineau (2), Renée Massip, Henri
Massis, Georges Maurevert, Tristan Maya (2), Henri Mazel (3), Pierre Menanteau, Jean-Toussaint Merle (2), Victor Meunier,
Auguste Mignet, Pierre Mille (3), Jules de Mohl, Henri de Monfreid, André Monglond, Étienne de Monpezat (2), Élie Moroy,
Eugène Muller, Jacques Natanson, Pol Neveux (2), Jacques Normand, Georges Ohnet, Charles Orengo, Jean Orieux (2), etc.
83.
LITTÉRATURE P-Z
. Environ 220 lettres ou pièces, la plupart L.A.S.
250/300
Édouard Pailleron (6), Henri Patin, Jacques Perret,Antoine Petit-Senn,André Picard (2), Charles Pichon,Alexandre Piédagnel
(3), Félix Pierre, Alfred Poizat, Édouard Plouvier (3), Léo Poldès (5), Georges Polti (2), Amédée Pommier (3), Barthélémy Pons,
Pons-Arlès, Armand Praviel (7), Regnault de Premaray, Jules Prevel (2), Ernest Prévost (3), Bernard Privat, Maurice Privat
(3), Jean Prouvost, Michel Provins, René Puaux, Claude-André Puget, Pol Quentin, Adolphe Racot, Paul Raynal (4), Paul
Reboux (10), Raymond Recouly, Gabriel Reuillard, Tony Revillon (6), Charles Reybaud (2), Jean Raynaud (3), Edouard Rod (2),
Dominique Rolin, Paul Romilly (poème), Antoine Roselly de Lorgues, Michel de Rougemont (2), André Roussin, Noël Ruet,
Saint-Georges Bouhélier (9), Vernoy de Saint-Georges, Paul de Saint-Victor (4), Eusèbe de Salverte (5), Jean Sarment, Gabriel
Sarrazin, Aurélien Scholl, René Schwob, Alberic Second, Pierre Seghers (2), Armand Silvestre, Albert Soubies, Paul Souchon,
Raoul Stephan (7), Edmond Texier, Édouard Thierry, Louis Thomas (2), Gabriel Timmory (2), Ernest Tissot (18), Léon Treich,
Albin Valabrègue (4), Diego Valeri, Adolphe Van Bever (2), Albert Vandal, Louis-Émile Vanderburch, Fernand Vandérem (7),
Clément Vautel, Pierre Veber (2), Charles Vellay, Paul Verola, Pierre Véron (8), Paul Vialar, Jean Vignaud, Jean des Vignes
Rouges (2), André Villebœuf (envoi), Jean Viollis, Tancrède de Visan (2), Francis Wey, Miguel Zamacoïs (3), Émile Zavie (2), etc.
84.
François MAURIAC
(1885-1970). Manuscrit autographe, [
La Paroisse morte
, 1920] ; 10 pages et quart in-4 sur
7 feuillets.
4 000/5 000
Manuscrit de premier jet et de travail de cette nouvelle, parue dans la
Revue des jeunes
de janvier 1921, non recueillie
en volume (
Œuvres romanesques
, Pléiade, t. I, p. 973-980 ; le manuscrit en était alors inconnu).
Le manuscrit, d’une minuscule écriture, est surchargé de ratures et corrections, et d’additions marginales, et orné de
7 croquis à la plume (un oiseau, des têtes de femme). Il présente d’importantes variantes avec le texte définitif, qui sera divisé
en 4 sections.
Cette nouvelle, marquée par le « souci d’édification » du premier Mauriac, se situe dans un village de Seine-et-Oise (qui
ressemble à celui de Vémars, où il séjourne dans la maison familiale de son épouse), où la girondine Geneviève est venue passer
des vacances chez son amie Lucie Montmélian ; elle vit dans le souvenir de son fiancé disparu à la guerre, et trouve le réconfort
dans l’église presque déserte.
La dernière partie de la nouvelle a fait l’objet de deux rédactions successives. Voici le début de la première : « Geneviève toute
sa vie se rappellera cette messe de dimanche devant trois familles bourgeoises installées chacune dans un banc comme dans ses
prérogatives. Mais les bancs des fidèles étaient vides et lorsque le prêtre se tournant vers la nef disait Chrétiens mes frères nous
sommes ici assemblés en ce saint jour de dimanche il semblait qu’il s’adressât à une foule invisible et que ce fussent les morts
des anciens temps qui fussent venus à la place des vivants infidèles. On entendait dans les intervalles de silence piaffer le cheval
que le curé n’avait pas même dételé tant il aimait peu s’attarder dans cette paroisse morte. Geneviève gardait dans son esprit
l’image des enfants sales, des femmes dépeignées qui depuis leurs seuils sur le pas des portes regardaient d’un œil dur les belles
dames qui vont à la messe »... Suivait un développement où Geneviève méditait sur les paroles du
Panis angelicus
…Mauriac y




