- L.A. de la part du duc d’Aumont, Les Tuileries, 7 février 1821, 1 page in-8 : «
Le duc d’Aumont a
reçu l’avis que monsieur Breguet lui a donné relativement aux réparations à faire à sa montre perpétuelle, et à la dépense
qu’elles nécessiteront…
»
- L.A.S. d’Amschel Mayer de ROTHSCHILD (1773-1855), banquier allemand, Francfort, 14
janvier 1825, 1 page in-4 : «
Monsieur je viens de recevoir votre lettre du 9 de courant par laquelle vous me proposez une
montre sur les principes de chronomètres ou une pareille à la mienne, je donne la préférence à la dernière, j’aimerai qu’elle
soit de la même grandeur que la mienne, l’aiguille des heures marchant à l’ordinaire…
»
- L.S. de Louis-Étienne François HERICART-FERRAND, vicomte de Thury (1776-1854),
maître des requêtes et directeur des travaux de Paris, Paris, 17 mars 1824 : «
J’ai reçu la lettre que vous m’avez
fait l’honneur de m’écrire le 3 de ce mois, pour me donner, ainsi que je vous en avais prié, une estimation de l’horloge du
palais de l’institut, exécutée par M. Lepaute. Je vous prie monsieur d’agréer mes remerciements des détails que vous volez
bien me transmettre sur la valeur de cette pendule et le mérite de son exécution…
»
- 2 L.A.S. d’Anselme de ROTHSCHILD (1803-1874), banquier autrichien, sans date et 1828, 1
page ¼ in-8 et 1 page in-8 : «
monsieur le chronomètre que vous m’avez fournis s’est tout à coup arrêté dans sa marche,
sans que je l’ai démarché le moins du monde. Je suis très contrarié de ces irrégularités continuelles qui me font presque croire
que la montre que vous m’avez fournie et que vous regardez comme une de vos belles pièces n’est pas de nature à vous faire
grand honneur…
»
- L.A.S. du fils d’Henri Gatien comte BERTRAND, Châteauroux, 1845, 1 page in-4.
- L.A.S. et L.A. de la part du comte Anatole DEMIDOFF (1813-1870), industriel russe et prince
de San Donato, Berne, 23 septembre 1832 (beau cachet de cire) et Rome, 5 février 1829, 2 pages in-12 et
3 pages ½ in-8 (accidents) : «
messieurs (…) toutes réflexions faite, je me suis convaincu qu’aucune d’elle ne pouvait
entièrement me satisfaire, et c’est pour cela que j’aime mieux vous en commander deux tout à fait de mon goût, et attendre
patiemment le long terme d’une année, que vous me dites être nécessaire à leur confection. (…) je voudrais aussi que vous
m’envoyassiez le dessin avec explication d’une pendule la plus compliquée et la plus belle que vous ayez jamais faite, de telle
manière qu’elle soit le plus beau, le plus étonnant chef-d’œuvre d’horlogerie possible. Je vous enverrai sous peu de l’or pur de
Sibérie pour la confection de deux grandes chaînes de monte (…) Ayant l’intention d’avoir souvent recours à vos rares
talens, je me flatte que loin de me surfaire sur les prix, vous les diminuerez au contraire en ma faveur…
»
Cet extrait de correspondance, écrit en 1829, fait référence à l’importante pendule astronomique en bronze livrée au comte Demidoff en 1830 pour
3 500 francs, et revendue en vente aux enchères Antiquorum, le 14 novembre 2004, pour plus de 457 250 francs suisse.
Joint :
L.S. de Joseph Jérôme SIMEON (1749-1842), ministre de l’Intérieur, Paris, 27 septembre 1821, 2
pages in-fol., proposant à Abraham-Louis Breguet, académicien des Sciences, une place dans une
commission spéciale – L.A.S. de PLANQUE, poète, Paris, 10 janvier 1824, 1 page in-4 – L.A.S. de
LAVALLETTE, Paris, 1817, ¼ de page in-12.
400-800
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[Horlogers] Correspondance de confrères horlogers français et suisses, 1808-1825.
Réunion de 8 L.A.S. adressées à Abraham-Louis et à Antoine-Louis Breguet :
- L.A.S. de Jean Antoine LEPINE (1720-1814), horloger parisien de Louis XV, Louis XVI et de
Napoléon, [Paris], 9 septembre 1808 , 1 page in-8 : «
Monsieur je viens de recevoir une lettre de M. Viergol qui me
charge de vous payer une traite de 171 livres ainsi qu’un mémoire d’objets fournis à Sa Majesté Charles IV…
»
- L.A.S. d’Antide JANVIER (1751-1835), horloger français, Paris, 8 avril 1810, 1 page ¼ in-12.
- L.A.S. de Robert ROBIN fils, horloger du roi et de Madame et fils de Robert Robin horloger de
Louis XVI, Paris, 23 avril 1819, 1 page in-4 : «
Monsieur, j’ai l’honneur de vous adresser un jeune homme qui
désirerait avoir l’avantage de travailler pour vous. Je l’ai occupé pendant quelques temps avant qu’il parte pour l’Angleterre
dont il arrive ; il entend assez bien l’horlogerie, il sait faire l’échappement à cylindre et celui à virgule, je l’ai occupé
principalement à faire des repassages de montre à répétition étrangère… »
- L.A.S. d’Abraham Louis PERRELET (1729-1826), horloger suisse, Paris, 23 avril 1822, 1 page
in-8 : «
Ayant ouï dire que vous ne réussissez pas à faire fendre convenablement une roue d’un certain nombre, je prends la
liberté de vous rappeler que je puis fendre tous les nombres proportionnés à la plateforme de mon outil à fendre et que par
conséquent si cela peut vous rendre service…
»
- L.A.S. d’Henri LEPAUTE (1800-1885), horloger de Louis-Philippe et de Napoléon III, Paris,
19 mai 1825, 1 page in-12 : «
J’ai l’honneur de présenter mes salutations à monsieur Breguet et lui envoye ci-joint le
double de la description de l’horloge que je propose à monsieur l’intendant des bâtiments du roi…
»
- 3 L.A.S. de Bernard Henri WAGNER (1790-1855), horloger du roi, Paris, 1818 (1 page in-4),
1821 (2 pages ½ in-4) et 1824 (1 page in-4) : [extrait du 30 août 1821] «
Monsieur Breguet à l’époque de




