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- L.S. du ministère de l’intérieur adressée à Abraham-Louis Breguet, 26 janvier 1796, 2 pages in-

8 :

«

(…) Le ministre citoyen m’a renvoyé le mémoire que vous lui avez présenté pour obtenir que deux ou trois des ouvriers

que vous employez (…) il faudrait que vous m’adressiez un état des jeunes gens que vous désirez conserver…

»

L’atelier du quai de l’Horloge à Paris, resté en activité sous la direction de Boulanger, est saccagé et déménagé de force en 1794.

Breguet se réinstallera dans ses anciens ateliers dès 1796.

100-200

216

[Premier Empire]

Jean BOUDET (1769-1809), général de division et comte d’Empire

L.A.S. à Abraham-Louis Breguet, Freusbourg, Danemark, 20 mars 1808, 1 page ½ in-4, cachet postal de

la Grande Armée.

«

(…) je vous demandais par ces lettres si une montre de chez vous à mouvement perpétuel, et qui vous fut remise dans les

mois de germinal ou prairial an 3 par M……. aide de camp du général Sébastiani, alors en Hollande, était raccommodée

(…) En l’an 12 vous me dites chez vous que c’était une de vos premières montres à mouvement perpétuel et qu’il y avait

plusieurs années que vous l’aviez faites. Je vous rapporte cette particularité pour que vous puissiez la reconnaître…

»

200-400

217

[Premier Empire] Réunion de lettres d’acheteurs et divers

,

1809-1814.

5 L.A.S. adressées à Abraham-Louis Breguet :

- L.A.S. de Marie Constant HAUTPOUL (1780-1854), aide de camp du roi de Naples, Naples, 20

mai 1809, 1 page in-4 : «

J’ai remis monsieur votre montre à M. de Pressac. Il ne m’a point encore remboursé la

totalité…

»

- L.A.S. de PONS-PRASLIN, Paris, 18 septembre 1810, 3 pages in-8, demandant de l’aide à

Breguet pour récupérer ses affaires personnelles.

- L.A.S. de Charlotte de GROUCHY veuve de Pierre Jean Georges CABANIS, Paris, 16 mars

1811, 1 page in-8 : «

J’envoye à monsieur Breguet par mon domestique actuel ma montre d’or à répétition. Elle a été fort

bien pendant longtemps mais depuis environ deux mois elle retarde sans cesse…

»

- L.A.S. de Casimir Marie Victor Guyon de MONTLIVAULT (1770-1846), intendant général de

maison de l’impératrice Joséphine, 19 juillet 1813, 1 page in-8 : «

Je vous envoye monsieur la montre que vous

venez de me remettre en vous faisant observer que le quart ne sonne pas je vous prie de remédier à cet inconvénient…

» avec

annotations manuscrites de Breguet : «

on avait oublier de mettre l’aiguille des minutes d’acor avec les quarts. Mais

j’observe que cette aiguille doit être en quarre, attendu que la lunette pourrait s’ouvrir…

»

- L.A.S. de Gabriel Jean Joseph MOLITOR (1770-1849), comte d’Empire, Amsterdam, 6

décembre 1814, 1 page in-4 : «

La montre que vous m’avez vendu monsieur que je vous ai renvoyée en février dernier

parce qu’elle n’allait pas bien, et que vous m’avez renvoyée après y avoir retouchée, n’a pas été 8 jours de suite sans retarder

ou avancer d’une heure, ou s’arrêter… »

Joint

: L.A. de l’intendant général de la maison de madame, mère de l’Empereur, Paris, 20 septembre

1809, 1 page in-8, invitant A.L. Breguet «

de vouloir bien passer chez moi (…) pour vous faire une communication de

la part de S.M. le roi de Westphalie…

» - L.A. de Charles-Jean-Henri DAVID de THIAIS, intendant général

de maison de la princesse Pauline, Paris, 16 mai 1809 : «

(…) prie de vouloir bien lui envoyer la personne de

confiance qu’il charge d’emballer les objets qu’il fait partir pour l’étranger craignant que la route n’offense la montre qu’il

doit faire passer à monseigneur…

»

200-400

218

[Premier Empire] Commandes de Prusse, 1810-1813.

2 L.A.S. adressées à Abraham-Louis Breguet :

- L.A.S. de Karl August von Hardenberg (1750-1822), chancelier du royaume de Prusse, Cassel,

24 février 1813, 2 pages in-8 : «

Je trouve le prix que M. Breguet met à la montre telle que je désire l’avoir, beaucoup

trop cher. Une excellente répétition que j’ai fait faire à Londres, qui a double boîtier en or très fin, ne me coûte à beaucoup

près pas tant. Il est vrai qu’elle ne montre ni le quantième du mois ni de la semaine, mais ces deux articles ne peuvent à ce

que je m’imagine du moins, point faire une différence de 400 à 500 francs. Si M. Breguet veut me laisser la montre en

question, avec un cadran en argent pour 2000 francs…

» ; suivie de L.A.S. de Jean Antoine LEPINE, Cassel, 28

février 1813, ½ page in-8 : «

J’ai l’honneur de vous adresser les observations de l’offre de monsieur le comte de

Ardenberg relativement à la répétition qu’il désire…

»