Brèves infos et vidéos sur Ventes et Bibliothèques


Posséder et collectionner des livres à la Renaissance (octobre 2017), par Monsieur Malcolm Walsby (Université de Rennes 2) La Bibliothèque patrimoniale du CCI conserve en son sein des centaines de volumes imprimés aux 15e et 16e siècles provenant de toute l’Europe. Collectionnés par des individus privés, ils se trouvèrent intégrés un à un aux fonds institutionnels parisiens avant d’être regroupés dans cette bibliothèque. Les ouvrages portent les marques de ces parcours variés et leur examen minutieux permet de reconstituer l’univers de leurs anciens possesseurs. Comment collectionnait-on des livres à la Renaissance ? Comment cherchait-on à les préserver pour des générations ultérieures ? . Cet événement a eu lieu au Centre Culturel Irlandais le 5 octobre 2017.

L’odeur des vieux livres bientôt inscrite au Patrimoine Culturel et Immatériel de l’Unesco ? Une étude scientifique démontre l’importance de préservation et de reconnaissance de l’odeur des vieux livres. Les auteurs de l’étude souhaiteraient inscrire ce type d’odeur au Patrimoine Culturel et Immatériel de l’UNESCO.

Peut-être en avez-vous déjà fait l’expérience de tourner les pages d’un livre pour sentir son odeur et être transporté dans un souvenir de lecture au coin du feu durant votre enfance où à la bibliothèque de votre quartier ? L’odeur des livres est pour beaucoup une sorte de « Madeleine de Proust » qui renvoie directement à un souvenir vécu grâce à un livre, c’est la raison pour laquelle certains se battent pour sa conservation.

(suite…)

Le faussaire qui aimait trop Galilée de Laurent Bergers et Paul-Henri Moinet …

Sympa l’info … Merci

Une histoire, passionnante, extraordinaire… Bernard Leborgne, fantastique… et Paul Veyssière…

Le film « Le faussaire qui aimait trop Galilée », de Laurent Bergers et Paul-Henri Moinet, sera diffusé sur France 5 dimanche 29 avril 2018 à 9h25.

Comment Massimo De Caro a-t-il réussi à tromper le monde du livre rare avec une copie remarquable d’un manuscrit de Galilée ? Jusque-là, personne n’avait réussi à reproduire la typographie d’un ouvrage aussi ancien. Récit d’une imposture.

Dans le monde du livre rare, il y a eu un avant et un après De Caro. En 2005, ce « collectionneur italien » vend à Richard Lan, un des grands experts américains en livres anciens, un exemplaire du rarissime Sidereus nuncius (traduit en français sous le titre Le Messager des étoiles) de Galilée, publié en 1610. Extraordinaire exemplaire, signé de la main de l’auteur, et illustré de quatre illustrations originales peintes et signées par lui !

(suite…)