Jules RENARD. 3 L.A.S., 1890-1909 ; 4 pages in-12 et demi-page in-8 à son adresse. 17 novembre 1890 : il remercie un confrère de « la bonne place que vous me donnez dans votre supplément littéraire […] Cela console de l’indifférence...
Estimation :
250 / 300
Adjudication :
232 €
Description
absolue des princes critiques »…
À Paul Hervieu. 28 février [1895] : « Je ne préfère pas L’Armature à Peints par Eux-mêmes […] mais il y a dans L’Armature de quoi justifier encore l’admiration que j’ai pour votre œuvre. En vérité, ce sont toujours les mêmes qui ont du talent. Ce qui m’intéresse le plus de vous, comme de tout bon écrivain, c’est la phrase, or la votre est prodigieusement habile »… 13 janvier 1909, félicitations : « Je ne sais plus à quelle hauteur vous êtes ! Je monte sur ma chaise, les mains tendues ! Votre chevalier »…
À Paul Hervieu. 28 février [1895] : « Je ne préfère pas L’Armature à Peints par Eux-mêmes […] mais il y a dans L’Armature de quoi justifier encore l’admiration que j’ai pour votre œuvre. En vérité, ce sont toujours les mêmes qui ont du talent. Ce qui m’intéresse le plus de vous, comme de tout bon écrivain, c’est la phrase, or la votre est prodigieusement habile »… 13 janvier 1909, félicitations : « Je ne sais plus à quelle hauteur vous êtes ! Je monte sur ma chaise, les mains tendues ! Votre chevalier »…
