MATTHIOLE (Pierre-André) – DES MOULINS (Jean) - Commentaires sur les six livres de Pedanius Dioscoride Anazarbeen de la matière Medecinale avec certaines tables medecinales tant des qualités et des vertus des simples medicamens que des...
Estimation :
500 / 1000
Adjudication :
3 000 €
Description
remèdes pour toutes maladies qui peuvent avenir au corps humain, comme aussi des sentences, mots & matières traictées
esdicts commentaires, mis en François sur la dernière édition Latine de l’Autheur, par Jean des Moulins Docteur en Medecine et de nouveau reveuz par iceluy & augmenté & enrichies de plusieurs portraicts plus qu’aux précédentes impressions, ensemble une table Latine & Françoise des noms des herbes contenues esdicts commentaires.
Lyon, Guillaume Rouille, 1579. In−fol., (136p.)−852p.−(31p.). Plein veau, plats et dos ornés de fers dorés. Un titre frontispice colorié d’époque en couleurs végétales, un portrait in−t. de l’auteur colorié d’époque, très nombreuses lettrines dont certaines coloriées et très nombreuses gravures sur bois in−t. de plantes et d’animaux, la plupart coloriées. Pedianus Dioscoride, médecin grec né au 1er siècle à Anarzaba en Cilicie voyagea beaucoup en Grèce, en Asie Mineure et jusqu’en Espagne. Son traité de botanique et traité de matière médicale fut imprimé pour la première fois à Venise en 1499. P. A. Mattioli (1500−1577), médecin et naturaliste italien né à Sienne, a connu une immense notoriété comme médecin mais reste pour la postérité l’auteur du commentaire de l’oeuvre du botaniste grec Dioscoride. Il imprima pour la première fois, à Venise, ses commentaires en latin sur Dioscoride en 1554. La première édition en français parue en 1561 à Lyon dans une traduction de J. des Moulins, médecin lyonnais (1530−1620) et en 1572 à Paris, puis revue, corrigée et augmentée en 1579 à Lyon. Maintes fois réédité par la suite, cet ouvrage forme la somme des connaissances en la matière acquise depuis l’Antiquité jusqu’à la Renaissance. Il est donc parmi les livres les plus importants pour l’histoire de la botanique médicinale. Bon état général, dos de l’ouvrage très bien refait mais les plats sont d’époque. Report d’encre important, rousseurs éparses. Petites déchirures aux feuillets 85, 211, 384. [Baudrier. IX, 369]
esdicts commentaires, mis en François sur la dernière édition Latine de l’Autheur, par Jean des Moulins Docteur en Medecine et de nouveau reveuz par iceluy & augmenté & enrichies de plusieurs portraicts plus qu’aux précédentes impressions, ensemble une table Latine & Françoise des noms des herbes contenues esdicts commentaires.
Lyon, Guillaume Rouille, 1579. In−fol., (136p.)−852p.−(31p.). Plein veau, plats et dos ornés de fers dorés. Un titre frontispice colorié d’époque en couleurs végétales, un portrait in−t. de l’auteur colorié d’époque, très nombreuses lettrines dont certaines coloriées et très nombreuses gravures sur bois in−t. de plantes et d’animaux, la plupart coloriées. Pedianus Dioscoride, médecin grec né au 1er siècle à Anarzaba en Cilicie voyagea beaucoup en Grèce, en Asie Mineure et jusqu’en Espagne. Son traité de botanique et traité de matière médicale fut imprimé pour la première fois à Venise en 1499. P. A. Mattioli (1500−1577), médecin et naturaliste italien né à Sienne, a connu une immense notoriété comme médecin mais reste pour la postérité l’auteur du commentaire de l’oeuvre du botaniste grec Dioscoride. Il imprima pour la première fois, à Venise, ses commentaires en latin sur Dioscoride en 1554. La première édition en français parue en 1561 à Lyon dans une traduction de J. des Moulins, médecin lyonnais (1530−1620) et en 1572 à Paris, puis revue, corrigée et augmentée en 1579 à Lyon. Maintes fois réédité par la suite, cet ouvrage forme la somme des connaissances en la matière acquise depuis l’Antiquité jusqu’à la Renaissance. Il est donc parmi les livres les plus importants pour l’histoire de la botanique médicinale. Bon état général, dos de l’ouvrage très bien refait mais les plats sont d’époque. Report d’encre important, rousseurs éparses. Petites déchirures aux feuillets 85, 211, 384. [Baudrier. IX, 369]
