Lot n° 16

Vicente blasco ibáñez (1867-1928) romancier espagnol. 14 L.S. (plusieurs avec additions et corrections autographes), Menton 1922-1927, à Marcel Thiébaut ; 15 pages in-4 ou oblong in-8 à son en-tête ou à l’adresse de la Villa Fontana Rosa...

Estimation : 400 / 500
Adjudication : Invendu
Description
(une en espagnol).
Correspondance avec son ami et traducteur. 13 mars 1922, invitation à l’avant-première de l’adaptation cinématographique américaine des Quatre Cavaliers de l’Apocalypse... Avril, au sujet de la traduction par Thiébaut de La Maja desnuda… 7 août 1923, sur la traduction par Carayon de sa nouvelle Le Comédien Fonseca, qu’on peut aussi intituler Le comédien errant… 5 avril 1924, requête urgente concernant les quelques lignes demandées par Paul Reboux pour le jubilé d’Anatole France, qu’il a écrites « en un français macarronique » et qu’il prie Thiébaut de « mettre en bon français »… 9 avril, il approuve la traduction par Thiébaut de Mare Nostrum... 25-27 septembre, à propos de la traduction du discours qu’il fera au « pèlerinage littéraire » de Médan, « très importante car je commence dans ce discours mes attaques au militarisme espagnol »... – Surtout, « ne pas dire militaires, dire généraux. Si nous mettons militaire tout le monde se considérera attaqué jusqu’au dernier lieutenant »... 1er juin 1925, il espère que La Reine Calafia paraîtra l’an prochain dans la Revue de Paris. « J’ai l’espoir que nous aurons un certain succès quand nous commencerons à publier en français la série de romans “évocateurs” que je prépare fait si longtemps »... 23 juillet, il prie de céder le manuscrit de La Reina Calafia au vieux général Pellecier, impatient de voir paraître sa traduction chez Flammarion ; il donnera à la place pour la Revue de Paris son roman Le Pape de la mer... 1926-1927, lettres au sujet de la traduction du Pape de la mer, et aux conditions de publication chez Flammarion...
Partager