[MÉDECINE] [Radiesthésie] [Pharmacopée]. Lot d'instruments.
Estimation :
150 / 200
Adjudication :
400 €
Description
- scarificateur. Alliage cuivre, fer. Fin XVIIIe siècle. 4,5 × 3,5 × 3,2 cm. Utilisé pour entailler la peau avant l'application d'un vaccin ou bien pour réaliser l'application de ventouse dites " scarifiées " (petites saignées).
- [trousse Michel Legros]. Boîte en bois gainée de chagrin rouge, intérieur en tissu moiré et velours bleu contenant deux seringues à barrettes, pour la guérison des morsures de serpent. Présente deux aiguilles en acier et un compartiment contenant du fil. Limoges, Michel Legros, Pharmacien, c. 1900. 8,5 × 5 × 2 cm. Étui légèrement abîmé. Bon état de l'ensemble.
?
- 3 seringues. Métal, verre. XXe siècle. Lot de trois seringues composé de : 1 très élégante seringue avec trois poignées ; 1 seringue graduée avec corps en verre. Signée Durillon ; 1 seringue à carpule avec aspiration. Signée Merz & Co Chemische Fabrik, Frankfurt. Bon état.
- [Radiesthésie]. XXe siècle. La radiesthésie peut se définir comme une sensibilité des êtres vivants à des radiations, connues ou inconnues. Grâce à ces ondes, il serait notamment possible de rechercher des personnes ou objets disparus, avec l'action d'un pendule. Il existe une radiesthésie médicale à vertus thérapeutiques, qui sert à préciser des diagnostics à l'aide d'un pendule et de témoins.
Intéressant lot qui regroupe des trousses-témoins homéopathiques avec témoins liquides ou en poudre hermétiquement fermés : 2 grandes trousses Georges Discry en bois gainées de maroquin noir avec tissu moiré et velours rouge à l'intérieur. Une dite de " syntonisation " présentant des témoins avec infimes extraits d'organes (artère, foie, nerf sciatique…). L'autre trousse comporte des témoins de maladies et d'affections microbiennes ; 1 trousse " Poconeol " avec étui en bois : fabriquée par la maison de la radiesthésie située au 16 rue St-Roch à Paris (1er), est composée de gouttes Poconeol et Bourdoux. Elle comporte un pendule de forme Luzy, du nom d'un radiesthésiste du XXe siècle nommé Antoine Luzy. Au XIXe siècle, le Père Bourdoux, missionnaire bénédictin en Amazonie, créé les remèdes poconéols. Par la suite, la trousse regroupant des témoins servait aux missionnaires chrétiens qui pratiquaient la radiesthésie.Bon état de l'ensemble. Il manque quelques gouttes dans la " trousse Poconeol ".
- 1 boîte de disques abrasifs dentaires, vide à l'exception d'un disque. Signée Moore, Londres.
- 1 petite trousse de pharmacie avec la mention " Usage du médecin ", qui provient de la Pharmacie centrale de Belgique. Contient six ampoules (coramine, camphraq, caféïne, huile camphrée).
- 3 pots à onguent en porcelaine et métal.
- 5 récipients de pharmacie en verre dont quatre sont en verre coloré orange. Un signé Laboratoire P. Rolland, Paris.
- 1 brassard en coton de la Croix Rouge, tamponné Commandement supérieur de la base belge, Calais.
- 3 instruments de mesure, chacun conservés dans un étui cartonné dont un pèse-vinaigres et un pèse-sels avec plombs en grains.
- [Pharmacopée]. Pharmacopæa Gandavensis nobilissimi senatûs jussu renovata [relié avec] Ordonnantie van Heer ende Weth der Stad Gend, op den Taux der Droguen en Medicamenten, Raekende de Pharmacie van de Apothecarissen der voorzeyde Stad. Gandavi [Gand], Judoci Begyn, 1787 [1786 à la page de titre]. In-4, [10]-466-[6]-[IV]-46 pp., demi-basane racinée du XIXe, dos lisse et cloisonné, pièce de titre verte, tranches mouchetées (reliure usuelle, mouillure en fin de volume et restauration de papier maladroite aux dernières pages).
Intéressant recueil de pharmacopée belge. Le premier ouvrage correspond à la première pharmacopée nationale commandée par le Collège des médecins de Gand, elle fut composée par le docteur Van Brabant et le pharmacien Coppens ; elle comporte un index des noms du Materia Medica en latin et en néerlandais.
Annotations anciennes marginales à l'encre brune.
La seconde pièce, une ordonnance publiée par le même éditeur, indique la tarification des médicaments.
- Pharmacopée belge, quatrième édition. Bruxelles, 1930. In-4, toile bordeaux chagrinée souple, titre en doré, IX-754 pages, tampon du Ministère de l'Intérieur et de l'Hygiène.
- [trousse Michel Legros]. Boîte en bois gainée de chagrin rouge, intérieur en tissu moiré et velours bleu contenant deux seringues à barrettes, pour la guérison des morsures de serpent. Présente deux aiguilles en acier et un compartiment contenant du fil. Limoges, Michel Legros, Pharmacien, c. 1900. 8,5 × 5 × 2 cm. Étui légèrement abîmé. Bon état de l'ensemble.
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- 3 seringues. Métal, verre. XXe siècle. Lot de trois seringues composé de : 1 très élégante seringue avec trois poignées ; 1 seringue graduée avec corps en verre. Signée Durillon ; 1 seringue à carpule avec aspiration. Signée Merz & Co Chemische Fabrik, Frankfurt. Bon état.
- [Radiesthésie]. XXe siècle. La radiesthésie peut se définir comme une sensibilité des êtres vivants à des radiations, connues ou inconnues. Grâce à ces ondes, il serait notamment possible de rechercher des personnes ou objets disparus, avec l'action d'un pendule. Il existe une radiesthésie médicale à vertus thérapeutiques, qui sert à préciser des diagnostics à l'aide d'un pendule et de témoins.
Intéressant lot qui regroupe des trousses-témoins homéopathiques avec témoins liquides ou en poudre hermétiquement fermés : 2 grandes trousses Georges Discry en bois gainées de maroquin noir avec tissu moiré et velours rouge à l'intérieur. Une dite de " syntonisation " présentant des témoins avec infimes extraits d'organes (artère, foie, nerf sciatique…). L'autre trousse comporte des témoins de maladies et d'affections microbiennes ; 1 trousse " Poconeol " avec étui en bois : fabriquée par la maison de la radiesthésie située au 16 rue St-Roch à Paris (1er), est composée de gouttes Poconeol et Bourdoux. Elle comporte un pendule de forme Luzy, du nom d'un radiesthésiste du XXe siècle nommé Antoine Luzy. Au XIXe siècle, le Père Bourdoux, missionnaire bénédictin en Amazonie, créé les remèdes poconéols. Par la suite, la trousse regroupant des témoins servait aux missionnaires chrétiens qui pratiquaient la radiesthésie.Bon état de l'ensemble. Il manque quelques gouttes dans la " trousse Poconeol ".
- 1 boîte de disques abrasifs dentaires, vide à l'exception d'un disque. Signée Moore, Londres.
- 1 petite trousse de pharmacie avec la mention " Usage du médecin ", qui provient de la Pharmacie centrale de Belgique. Contient six ampoules (coramine, camphraq, caféïne, huile camphrée).
- 3 pots à onguent en porcelaine et métal.
- 5 récipients de pharmacie en verre dont quatre sont en verre coloré orange. Un signé Laboratoire P. Rolland, Paris.
- 1 brassard en coton de la Croix Rouge, tamponné Commandement supérieur de la base belge, Calais.
- 3 instruments de mesure, chacun conservés dans un étui cartonné dont un pèse-vinaigres et un pèse-sels avec plombs en grains.
- [Pharmacopée]. Pharmacopæa Gandavensis nobilissimi senatûs jussu renovata [relié avec] Ordonnantie van Heer ende Weth der Stad Gend, op den Taux der Droguen en Medicamenten, Raekende de Pharmacie van de Apothecarissen der voorzeyde Stad. Gandavi [Gand], Judoci Begyn, 1787 [1786 à la page de titre]. In-4, [10]-466-[6]-[IV]-46 pp., demi-basane racinée du XIXe, dos lisse et cloisonné, pièce de titre verte, tranches mouchetées (reliure usuelle, mouillure en fin de volume et restauration de papier maladroite aux dernières pages).
Intéressant recueil de pharmacopée belge. Le premier ouvrage correspond à la première pharmacopée nationale commandée par le Collège des médecins de Gand, elle fut composée par le docteur Van Brabant et le pharmacien Coppens ; elle comporte un index des noms du Materia Medica en latin et en néerlandais.
Annotations anciennes marginales à l'encre brune.
La seconde pièce, une ordonnance publiée par le même éditeur, indique la tarification des médicaments.
- Pharmacopée belge, quatrième édition. Bruxelles, 1930. In-4, toile bordeaux chagrinée souple, titre en doré, IX-754 pages, tampon du Ministère de l'Intérieur et de l'Hygiène.
