Antoine François DERUES empoisonneur d’une famille - 1777 Ensemble de dcuments comprenant :
Estimation :
120 / 150
Adjudication :
313 €
Description
•A. Lot de 15 gravures sur l’histoire de l’empoisonnement de la famille de la Motte par Antoine Derues.
•B. Gravure en tirage ancien. « Le Véritable portrait de Madame Nicolais, femme d’Antoine François Derues, dessinée d’Après nature » Avec indication manuscrite à l’encre « Empoisonneuse à Paris, Son mari étoit roué, il y a environ 20 ans. Elle vit encore, 1787 ».
21 x 15 cm (déchirures)
Derues Antoine François. Épicier. Suite à de nombreuses escroqueries, il arriva à se hisser à un rang social honnête.
Toutefois des dettes pressantes l’amenèrent à empoisonner la famille de Saint Faust de la Motte, écuyer du Roi, qui lui avait vendu une terre seigneuriale dite « le Buisson-Souef », dont il ne pouvait honorer le paiement.
Il empoisonna Madame de la Motte à Paris, et cacha son corps dans une malle qu’il enterra dans une cave d’une maison louée.
Le fils subit le même sort, à Versailles, où il fut enterré sous un faux nom.
Monsieur de la Motte, inquiet, fit appel à la Police, qui découvrit après perquisition le corps de Madame de la Motte.
Le 30 avril 1777, Derues fut condamné à être rompu vif et brûlé en place de Grêve.
•B. Gravure en tirage ancien. « Le Véritable portrait de Madame Nicolais, femme d’Antoine François Derues, dessinée d’Après nature » Avec indication manuscrite à l’encre « Empoisonneuse à Paris, Son mari étoit roué, il y a environ 20 ans. Elle vit encore, 1787 ».
21 x 15 cm (déchirures)
Derues Antoine François. Épicier. Suite à de nombreuses escroqueries, il arriva à se hisser à un rang social honnête.
Toutefois des dettes pressantes l’amenèrent à empoisonner la famille de Saint Faust de la Motte, écuyer du Roi, qui lui avait vendu une terre seigneuriale dite « le Buisson-Souef », dont il ne pouvait honorer le paiement.
Il empoisonna Madame de la Motte à Paris, et cacha son corps dans une malle qu’il enterra dans une cave d’une maison louée.
Le fils subit le même sort, à Versailles, où il fut enterré sous un faux nom.
Monsieur de la Motte, inquiet, fit appel à la Police, qui découvrit après perquisition le corps de Madame de la Motte.
Le 30 avril 1777, Derues fut condamné à être rompu vif et brûlé en place de Grêve.
