Maurice BARRES. 1862-1923. Écrivain, homme politique. 15 L.A.S. 1904-1921.
Estimation :
700/800 €
Description
22 pp. format divers dont avec en-tête de la Chambre des député, qqs enveloppes jointes.
A l’éditeur Dorlin (1904) à qui il demande de lui faire porter à Neuilly une liste de livre qu’il transmet ; au même en 1909, il se propose de transmettre une préface sur la guerre de 70 si son correspondant accepte de lui donner un livre qu’il trouve trop cher, Le Liber Veritatis de Claude Gellée. ; A Valette (1906), auprès de qui il interfère pour la veuve d’un ami qui vient de décéder. Lettre sur papier en-tête de la Librairie Larousse (1911), concernant un portrait que son correspondant refuse ; il a sous les yeux l’épreuve de Gerschel qui n’est selon lui qu’un retirage ; à propos d’une affaire mentionnée par le Mercure.
à Jean de Peslouan (1921), qu’il félicite pour le choix de son titre « Le Chef sauvage »et le remercie de lui avoir offert ; à Emile Paul (1912), sur 400 exemplaires qu’il propose de dédicacer ; à propos de corrections faites par Faquet mais qu’il cherche vainement notamment le passage « des rêveries non influencées par la raison ». A son cher Thomas (1909), annonçant qu’il retourne à l’imprimerie pour les premières pages et précise : si c’est possible, de me donner la suite d’un coup (…). A Grasset, demandant de trouver un article de l’Echo de Paris et ajoutant : pour un tirage à mille exemplaires numérotés, je vous demanderais mille francs (…). Concernant une allocation de 1000 francs offert par une commission de l’Académie ; à propos de l’ouvrage de son correspondant : Ah si vous aviez mis de l’ordre dans tout cela d’une manière un peu plus savante ! (…) Nul défaut, mais des excès (…). Etc.
A l’éditeur Dorlin (1904) à qui il demande de lui faire porter à Neuilly une liste de livre qu’il transmet ; au même en 1909, il se propose de transmettre une préface sur la guerre de 70 si son correspondant accepte de lui donner un livre qu’il trouve trop cher, Le Liber Veritatis de Claude Gellée. ; A Valette (1906), auprès de qui il interfère pour la veuve d’un ami qui vient de décéder. Lettre sur papier en-tête de la Librairie Larousse (1911), concernant un portrait que son correspondant refuse ; il a sous les yeux l’épreuve de Gerschel qui n’est selon lui qu’un retirage ; à propos d’une affaire mentionnée par le Mercure.
à Jean de Peslouan (1921), qu’il félicite pour le choix de son titre « Le Chef sauvage »et le remercie de lui avoir offert ; à Emile Paul (1912), sur 400 exemplaires qu’il propose de dédicacer ; à propos de corrections faites par Faquet mais qu’il cherche vainement notamment le passage « des rêveries non influencées par la raison ». A son cher Thomas (1909), annonçant qu’il retourne à l’imprimerie pour les premières pages et précise : si c’est possible, de me donner la suite d’un coup (…). A Grasset, demandant de trouver un article de l’Echo de Paris et ajoutant : pour un tirage à mille exemplaires numérotés, je vous demanderais mille francs (…). Concernant une allocation de 1000 francs offert par une commission de l’Académie ; à propos de l’ouvrage de son correspondant : Ah si vous aviez mis de l’ordre dans tout cela d’une manière un peu plus savante ! (…) Nul défaut, mais des excès (…). Etc.
