Paul DEROULEDE. 1846-1914. Écrivain, nationaliste. L.A.S. à son ami « Berge » [Emile Bergerat]. S.l., 2 juillet 1890.
Estimation :
150/200 €
Description
4 pp. bi-feuillet in-8 ; déchirure restaurée.
Éloges de l’écrivain sur l’adaptation théâtrale du Capitaine Fracasse, d’après le roman de Théophile GAUTHIER : (…) DAUDET a raison, il y a en vous du Lucien et du Swift, il ya aussi de l’Henri Heine, mais de tout ce vieil or, vous avez refrappé monnaie à votre effigie et à votre millésime. Et puis, ce n’est pas seulement de l’humour, c’est de la poésie exquise, fantasque, poétique par-dessus tout. Votre « Capitaine FRACASSE » cas il est devenu vôtre, tout en restant sien, votre Fracasse est un chef d’œuvre de style, d’esprit, de rime et de saine déraison (…). Il faut que cela soit joué, il le faut pour l’homme de lettres et pour le délice des lettrés. Il se recommande à leur vieille amitié qui date de l’an 1863 ; Il n’ya de vrai que le « Livre », en lui est toute force, toute vérité et toute lumière (…).
Éloges de l’écrivain sur l’adaptation théâtrale du Capitaine Fracasse, d’après le roman de Théophile GAUTHIER : (…) DAUDET a raison, il y a en vous du Lucien et du Swift, il ya aussi de l’Henri Heine, mais de tout ce vieil or, vous avez refrappé monnaie à votre effigie et à votre millésime. Et puis, ce n’est pas seulement de l’humour, c’est de la poésie exquise, fantasque, poétique par-dessus tout. Votre « Capitaine FRACASSE » cas il est devenu vôtre, tout en restant sien, votre Fracasse est un chef d’œuvre de style, d’esprit, de rime et de saine déraison (…). Il faut que cela soit joué, il le faut pour l’homme de lettres et pour le délice des lettrés. Il se recommande à leur vieille amitié qui date de l’an 1863 ; Il n’ya de vrai que le « Livre », en lui est toute force, toute vérité et toute lumière (…).
