Vincent d’INDY. 1851-1931. Compositeur. 4 L.A.S et 2 L.A. (à Mlle Gillicaux). 1892-1899. 9 pp. in-8 dont avec de d’Indy à la Société nationale de Musique (signature découpée et déchirure réparée),
Estimation :
400/500 €
Description
1 pp. in-16 sur carte (signature découpée).
Correspondance de d’Indy avec une jeune cantatrice pour l’interprétation de ses œuvres : Mars 1892 : Demandant de passer place Malesherbes où il va faire répéter les chœurs de Franck ; Là je vous donnerais l’idée de ce que vous auriez à chanter pour les mouvements, etc. et nous répéterons le tout plus à loisir à votre retour d’Angleterre (…). Novembre 1892 : il vient d’écrire à Bardier et a très bon espoir sur son compte après l’avoir recommandé à Lamoureux : Je voudrais bien que cela réussit, car je serais enchanté quant à moi de vous avoir comme interprète (…). Janvier 1893 : il est content de son interprétation dans son Chant de la Cloche, déplorant la critique dont le talent consiste à défier des personnalités non encore connues (…). D’Indy lui donne longuement le détail de ses prochains concerts où elle chantera notamment Andromède de Leken et lui proposant de lui trouver deux belles mélodies de Schumann ou de Schubert en allemand. Février 1893 : il est passé chez Heugel à son intention, mais « le grand patron » est malade même assez dangereusement (…). Chanter devant son remplaçant Chevalier, serait du temps perdu. Il vaut mieux attendre que le patron soit rétabli (…). Un cocher a rapporté salle Pleyel la partition d’Andromède qu’elle avait oublié. Décembre 1899 ; sa recommandation auprès de Mengelberg pour qu’il l’engage dans le Chant de la Cloche, a échouée car il apprend qu’une autre cantatrice est prise demain à Amsterdam. A propos d’auditions prochaines, etc.
Correspondance de d’Indy avec une jeune cantatrice pour l’interprétation de ses œuvres : Mars 1892 : Demandant de passer place Malesherbes où il va faire répéter les chœurs de Franck ; Là je vous donnerais l’idée de ce que vous auriez à chanter pour les mouvements, etc. et nous répéterons le tout plus à loisir à votre retour d’Angleterre (…). Novembre 1892 : il vient d’écrire à Bardier et a très bon espoir sur son compte après l’avoir recommandé à Lamoureux : Je voudrais bien que cela réussit, car je serais enchanté quant à moi de vous avoir comme interprète (…). Janvier 1893 : il est content de son interprétation dans son Chant de la Cloche, déplorant la critique dont le talent consiste à défier des personnalités non encore connues (…). D’Indy lui donne longuement le détail de ses prochains concerts où elle chantera notamment Andromède de Leken et lui proposant de lui trouver deux belles mélodies de Schumann ou de Schubert en allemand. Février 1893 : il est passé chez Heugel à son intention, mais « le grand patron » est malade même assez dangereusement (…). Chanter devant son remplaçant Chevalier, serait du temps perdu. Il vaut mieux attendre que le patron soit rétabli (…). Un cocher a rapporté salle Pleyel la partition d’Andromède qu’elle avait oublié. Décembre 1899 ; sa recommandation auprès de Mengelberg pour qu’il l’engage dans le Chant de la Cloche, a échouée car il apprend qu’une autre cantatrice est prise demain à Amsterdam. A propos d’auditions prochaines, etc.
