Ponce-Denis Écouchard-Lebrun, dit LEBRUN PINDARE. 1729-1807. Écrivain poète. Poème autographe. S.d. (circa 1783).
Estimation :
500 / 550
Description
4 pp. grand in-8.
Brouillon très corrigé d’une Elégie à mon fils Alphonse, parue à titre posthume en 1811, présentant 80 vers, avec ratures et variantes, où le poète s’est essayé à deux débuts différents, rédigée à la suite d’une lettre inachevée, aux lignes biffées et datée « 19 avril 1774 ». Ô toi né dans ces jours où le nouveau Dédale. De l’air inaccessible a franchi l’intervalle Cher Alphonse, ô mon fils dont le riant berceau Variante :
toi dont l’heureux [berceau] / Que ton riant [berceau] Console mes regards des horreurs du tombeau (…).
La version définitive de ce poème, non titré ici, comptera 90 vers et sera dédiée à un fils « né en 1783 à l’époque des découvertes les plus étonnantes des arts et de la paix la plus glorieuse ». Y sont notamment évoqués les premières expériences d’aérostat et la paix établie entre la France et l’Angleterre par la signature du traité de Versailles en septembre 1783.
Brouillon très corrigé d’une Elégie à mon fils Alphonse, parue à titre posthume en 1811, présentant 80 vers, avec ratures et variantes, où le poète s’est essayé à deux débuts différents, rédigée à la suite d’une lettre inachevée, aux lignes biffées et datée « 19 avril 1774 ». Ô toi né dans ces jours où le nouveau Dédale. De l’air inaccessible a franchi l’intervalle Cher Alphonse, ô mon fils dont le riant berceau Variante :
toi dont l’heureux [berceau] / Que ton riant [berceau] Console mes regards des horreurs du tombeau (…).
La version définitive de ce poème, non titré ici, comptera 90 vers et sera dédiée à un fils « né en 1783 à l’époque des découvertes les plus étonnantes des arts et de la paix la plus glorieuse ». Y sont notamment évoqués les premières expériences d’aérostat et la paix établie entre la France et l’Angleterre par la signature du traité de Versailles en septembre 1783.
