DELAVEAU (Philippe). Eaux délectables, Nuit. Montréal, Alain Piroir, février 1995. In-4 oblong (210 x 300 mm) de [28] ff. (soit 14 bifeuillets jumelés par le haut) avec versos blancs montés sur onglets, les deux premiers et les deux derniers...
Estimation :
1500 / 2000
Adjudication :
1500 €
Description
blancs, reliure ancienne de box lavande en relief sur fond de box d’un autre bleu, décor de barrettes courbes de box de couleur mosaïquées et entrecroisées, poudrage oblique de teinte bouton d’or, filets à froid, doublures bord à bord de box parme, gardes de daim outremer, non rogné, couverture décorée et dos, chemise à dos et bandes de box gris, étui (Renaud Vernier. 1998.- E.D. Claude Ribal).
Édition originale ornée de 6 eaux-fortes originales en couleurs et hors texte de Julius Baltazar (ici monogrammées au crayon par l’artiste). Chaque gravure offre des variantes d’une épreuve à l’autre car — précise la justification — chacune d’elles a été « pressée sur une peinture originale » sur japon Sekishu.#Tirage à 65 exemplaires sur papier vélin d’Arches signés par l’auteur et par l’artiste.#Le faux-titre, orné d'une aquarelle originale de Baltazar, porte ces ex-dono autographes : « Pour Martine et Gérard Vidalenche. J’ai désiré la joie et chaque matin la nuit pardonnait ce désir. Avec les respectueux hommages de Philippe Delaveau » ; « Et l’affection de Julius Baltazar. Nov. 96 ».#
Édition originale ornée de 6 eaux-fortes originales en couleurs et hors texte de Julius Baltazar (ici monogrammées au crayon par l’artiste). Chaque gravure offre des variantes d’une épreuve à l’autre car — précise la justification — chacune d’elles a été « pressée sur une peinture originale » sur japon Sekishu.#Tirage à 65 exemplaires sur papier vélin d’Arches signés par l’auteur et par l’artiste.#Le faux-titre, orné d'une aquarelle originale de Baltazar, porte ces ex-dono autographes : « Pour Martine et Gérard Vidalenche. J’ai désiré la joie et chaque matin la nuit pardonnait ce désir. Avec les respectueux hommages de Philippe Delaveau » ; « Et l’affection de Julius Baltazar. Nov. 96 ».#
