François MITTERRAND. 1916-1996. Homme politique. L.A.S. à Lucien Neuquelman. Paris, 12 octobre 1966. 1 pp. ½ in-8, en-tête en coin de l’Assemblée nationale.
Estimation :
1 800 - 2 000 €*
Mi
Description
Lettre politique de Mitterrand alors nommé président de la Fédération de la Gauche au lendemain de ses bons résultats face à De Gaulle ; il répond aux critiques de l’artiste sur la stratégie du parti socialiste pour les prochaines élections : (…)
Il est certain que tout doit être fait pour garder et accroitre la confiance populaire dans une gauche unie. Mais les circonstances rendent notre démarche difficile dans la mesure où les deux grandes organisations politiques de la gauche, le Parti communiste et la Fédération comptent présenter leurs candidats dès le premier tour de scrutin (…).
Il est donc normal que la Fédération (…) préserve sa physionomie et sa personnalité, et que pour cela elle évite de s’enfermer dans les clauses d’un accord trop étroit avec son partenaire principal (…).
Il admet trouver au sein de la Fédération trop d’éléments désuets ; (…) malgré ses inconvénients, je crois en sa dynamique (…).
▬Joint
•la lettre tapuscrite signée (avec corrections aut.) de l’artiste, à laquelle Mitterrand a répondu.
Il est certain que tout doit être fait pour garder et accroitre la confiance populaire dans une gauche unie. Mais les circonstances rendent notre démarche difficile dans la mesure où les deux grandes organisations politiques de la gauche, le Parti communiste et la Fédération comptent présenter leurs candidats dès le premier tour de scrutin (…).
Il est donc normal que la Fédération (…) préserve sa physionomie et sa personnalité, et que pour cela elle évite de s’enfermer dans les clauses d’un accord trop étroit avec son partenaire principal (…).
Il admet trouver au sein de la Fédération trop d’éléments désuets ; (…) malgré ses inconvénients, je crois en sa dynamique (…).
▬Joint
•la lettre tapuscrite signée (avec corrections aut.) de l’artiste, à laquelle Mitterrand a répondu.
