PERGOLESI, Giovanni Battista. Stabat Mater del Sigr. Giovanni Battista Pergolese, della Città della Pergola Stato di sua Santità. Maestro di Musica à Loretto. Paris, Bayard, Le Clere, Castagneri, s.d. [vers 1760]. In-folio (330 x 240 mm) de 1 f....
Estimation :
600 / 800 €
Adjudication :
1 253 €
Description
pour le titre gravé avec encadrement architectural et pp. 2-29 pour la musique gravée : demi-veau brun avec coins, dos à nerfs orné (reliure moderne).
→Belle édition ancienne du chef-d’œuvre de Pergolèse.
Composé dans les derniers mois de la courte vie du compositeur, mort à Pozzuoli en 1736,
le Stabat Mater connut un grand succès tout au long du XVIIIe siècle, attesté par de nombreuses copies manuscrites et quelques éditions imprimées.
Surtout, il marqua deux grands esprits :
•Bach, qui l’adapta dans sa cantate "Tilge, Höchster, meine Sünde" (BWV 1083), et
•Rousseau, qui tenait le duo d’ouverture pour l’un des plus touchants et des plus parfaits jamais sortis de la plume d’un compositeur. Les accords suspendus de ce duo, aussi gracieux que profonds, constituent en effet l’un des atouts majeurs de l'œuvre.
Ce volume appartient au petit nombre d’éditions publiées à Paris, à Londres et ailleurs au milieu du XVIIIe siècle :
on ne connaît pas avec précision l’ordre de leur parution.
Voir aussi le n° 726.
RISM P 1355
→Belle édition ancienne du chef-d’œuvre de Pergolèse.
Composé dans les derniers mois de la courte vie du compositeur, mort à Pozzuoli en 1736,
le Stabat Mater connut un grand succès tout au long du XVIIIe siècle, attesté par de nombreuses copies manuscrites et quelques éditions imprimées.
Surtout, il marqua deux grands esprits :
•Bach, qui l’adapta dans sa cantate "Tilge, Höchster, meine Sünde" (BWV 1083), et
•Rousseau, qui tenait le duo d’ouverture pour l’un des plus touchants et des plus parfaits jamais sortis de la plume d’un compositeur. Les accords suspendus de ce duo, aussi gracieux que profonds, constituent en effet l’un des atouts majeurs de l'œuvre.
Ce volume appartient au petit nombre d’éditions publiées à Paris, à Londres et ailleurs au milieu du XVIIIe siècle :
on ne connaît pas avec précision l’ordre de leur parution.
Voir aussi le n° 726.
RISM P 1355
