ROSSINI, Gioachino. Manuscrit musical en partie autographe, intitulé : "(Gammes) / Des montées des Descentes / Deux Gammes Chinoises / suivies / d’une Mélodie Analogue. Le tout dédié à mon Ami / Mr Jobart Millionnaire / (Toujours de la...
Estimation :
4 000 / 6 000 €
Adjudication :
4 894 €
Description
Blague"). Signé sur la première page : "G. Rossini /
1867".
In-folio (350 x 275 mm) de (14) pp. (la dernière blanche) :
cahiers cousus avec une ficelle blanche et rouge, couverture postérieure à rabats, titre à l’encre bleue sur le premier plat.
Composition du manuscrit :
• [1] Titre en partie autographes : les mots "Gammes" et "Deux", ainsi que la signature et la date,
sont de la main de Rossini.
• [2] "Montée" pour piano, par un copiste.
• [3-4] "Descente" pour piano, par un copiste, avec une petite correction à la p. 3.
• [5] "Montée" pour le piano, par un copiste.
• [6] "Descente" pour piano, par un copiste.
• [7] "1ère Gamme Chinoise Montante et Descendante" pour piano, par un copiste, avec
suppressions et corrections de la main de Rossini.
• [8] "2ème Gamme Chinoise Montante et Descendante" pour piano, par un copiste, entièrement
récrite par Rossini.
• [9-13] "L’amour à Pékin. Petite Mélodie sur la Gamme Chinoise" pour piano et chant. Les trios
premiers mots du titre, ainsi que le texte de la mélodie, sont autographes. La musique, de la main
d’un copiste, comporte des corrections autographes du compositeur.
La première, la troisième et la dernière pièce portent en outre l’indication : "(Pour album)".
Curieux ensemble de divertissements composés par Rossini dans ses vieux jours.
Les pièces intitulées "Montée" et "Descente" sont une suite d’exercices de modulation fort ingénieux, parcourant l’échelle chromatique dans les deux sens ; deux d’entre elles ont recours à la gamme dite "chinoise" (employant tous les tons).
La pièce finale est une mélodie dont le texte est très probablement l’œuvre de Rossini. Tous ces morceaux appartiennent à ce qu’on a pu définir des "péchés de vieillesse", c’est-à-dire les partitions écrites par Rossini après Guillaume Tell, alors qu’il avait renoncé à composer.
Quelques taches, papier un peu froissé par endroit, la première page est roussie.
1867".
In-folio (350 x 275 mm) de (14) pp. (la dernière blanche) :
cahiers cousus avec une ficelle blanche et rouge, couverture postérieure à rabats, titre à l’encre bleue sur le premier plat.
Composition du manuscrit :
• [1] Titre en partie autographes : les mots "Gammes" et "Deux", ainsi que la signature et la date,
sont de la main de Rossini.
• [2] "Montée" pour piano, par un copiste.
• [3-4] "Descente" pour piano, par un copiste, avec une petite correction à la p. 3.
• [5] "Montée" pour le piano, par un copiste.
• [6] "Descente" pour piano, par un copiste.
• [7] "1ère Gamme Chinoise Montante et Descendante" pour piano, par un copiste, avec
suppressions et corrections de la main de Rossini.
• [8] "2ème Gamme Chinoise Montante et Descendante" pour piano, par un copiste, entièrement
récrite par Rossini.
• [9-13] "L’amour à Pékin. Petite Mélodie sur la Gamme Chinoise" pour piano et chant. Les trios
premiers mots du titre, ainsi que le texte de la mélodie, sont autographes. La musique, de la main
d’un copiste, comporte des corrections autographes du compositeur.
La première, la troisième et la dernière pièce portent en outre l’indication : "(Pour album)".
Curieux ensemble de divertissements composés par Rossini dans ses vieux jours.
Les pièces intitulées "Montée" et "Descente" sont une suite d’exercices de modulation fort ingénieux, parcourant l’échelle chromatique dans les deux sens ; deux d’entre elles ont recours à la gamme dite "chinoise" (employant tous les tons).
La pièce finale est une mélodie dont le texte est très probablement l’œuvre de Rossini. Tous ces morceaux appartiennent à ce qu’on a pu définir des "péchés de vieillesse", c’est-à-dire les partitions écrites par Rossini après Guillaume Tell, alors qu’il avait renoncé à composer.
Quelques taches, papier un peu froissé par endroit, la première page est roussie.
