QUENEAU, Raymond. Les Temps mêlés. Gueule de pierre, II. Paris, Gallimard, 1941. In-12 (184 x 115 mm) de 181-(3) pp. : reliure à la Bradel, dos de box vert orné en long du titre au palladium et à l'œser orange, parme, jonquille et rouge ;...
Estimation :
1 200 / 1 500 €
Adjudication :
Invendu
Description
plats recouverts de papier polychrome "peau de serpent" orné, en surimpression, d'un décor formé de graffitis abstraits au palladium ; couverture et dos conservés, non rogné, étui bordé (Leroux, 1995).
►Édition originale.
Exemplaire du service de presse (il n'y a pas eu de grands papiers).
C'est dans ce singulier "roman" que Raymond Queneau a le mieux mêlé non seulement les temps mais aussi les genres : poésie en vers, prose et dialogue. Un refus de la narration linéaire qui annonce déjà les audaces de la littérature d'après-guerre.
►Envoi de l'auteur sur le faux-titre :
à Paul Eluard
amicalement
Queneau
▬On a relié au début du volume
•une lettre autographe signée de l'auteur à Paul Éluard (datée "vendredi 28", probablement écrite en 1944, en-tête de la NRF, 1 page in-12 à l'encre bistre).
→Étonnante reliure de Leroux mêlant, comme les temps du titre, formes et couleurs.
►Édition originale.
Exemplaire du service de presse (il n'y a pas eu de grands papiers).
C'est dans ce singulier "roman" que Raymond Queneau a le mieux mêlé non seulement les temps mais aussi les genres : poésie en vers, prose et dialogue. Un refus de la narration linéaire qui annonce déjà les audaces de la littérature d'après-guerre.
►Envoi de l'auteur sur le faux-titre :
à Paul Eluard
amicalement
Queneau
▬On a relié au début du volume
•une lettre autographe signée de l'auteur à Paul Éluard (datée "vendredi 28", probablement écrite en 1944, en-tête de la NRF, 1 page in-12 à l'encre bistre).
→Étonnante reliure de Leroux mêlant, comme les temps du titre, formes et couleurs.
