UNGARETTI, Giuseppe. Allegria di naufragi. Firenze, Vallecchi, sans date [1919]. In-8 (195 x 138 mm) de 24-(2) pp. et 8 pp. de catalogue de l'éditeur : broché, couverture crème imprimée en noir. ►Édition collective en partie...
Estimation :
3 000 / 4 000 €
Adjudication :
3 634 €
Description
originale.
Quarante-deux poèmes n'avaient paru qu'en revue et dans un recueil collectif ; douze autres poèmes sont publiés ici pour la première fois.
►Un livre-clef de la poésie moderne, marqué par la guerre et les avant-gardes.
Troisième recueil publié par Ungaretti – après Il Porto sepolto et le confidentiel La Guerre dédié à son ami Apollinaire, tous deux reproduits ici avec variantes –, il contient l'essentiel de la première manière ungarettienne, sans conteste la plus heureuse et la plus innovante.
►Envoi de l'auteur à Philippe Soupault au recto du premier feuillet blanc :
pour Soupault,
en signe de fraternité
Ungaretti
5 rue des Carmes
Les audaces de La Guerre avaient ouvert au jeune poète-soldat, démobilisé le 9 novembre 1918, les portes de la revue Littérature dirigée par Aragon, Breton et Soupault. Ungaretti y publia deux articles (juin 1919 et janvier 1920). L'année suivante, il s'installa en Italie avec sa jeune épouse, Jeanne Dupoix, tout en poursuivant sa collaboration avec les revues françaises.
►Ouvrage rare avec envoi : la nature littéraire de celui-ci et l'allusion à la "fraternité" – concept clef de la poésie d’Ungaretti inspirée par la guerre – rendent cet exemplaire très désirable.
Papier un peu bruni.
Gambetti & Vezzosi, Rarità bibliografiche del Novecento
italiano, p. 934 : "Rarissimo e ricercatissimo".
Quarante-deux poèmes n'avaient paru qu'en revue et dans un recueil collectif ; douze autres poèmes sont publiés ici pour la première fois.
►Un livre-clef de la poésie moderne, marqué par la guerre et les avant-gardes.
Troisième recueil publié par Ungaretti – après Il Porto sepolto et le confidentiel La Guerre dédié à son ami Apollinaire, tous deux reproduits ici avec variantes –, il contient l'essentiel de la première manière ungarettienne, sans conteste la plus heureuse et la plus innovante.
►Envoi de l'auteur à Philippe Soupault au recto du premier feuillet blanc :
pour Soupault,
en signe de fraternité
Ungaretti
5 rue des Carmes
Les audaces de La Guerre avaient ouvert au jeune poète-soldat, démobilisé le 9 novembre 1918, les portes de la revue Littérature dirigée par Aragon, Breton et Soupault. Ungaretti y publia deux articles (juin 1919 et janvier 1920). L'année suivante, il s'installa en Italie avec sa jeune épouse, Jeanne Dupoix, tout en poursuivant sa collaboration avec les revues françaises.
►Ouvrage rare avec envoi : la nature littéraire de celui-ci et l'allusion à la "fraternité" – concept clef de la poésie d’Ungaretti inspirée par la guerre – rendent cet exemplaire très désirable.
Papier un peu bruni.
Gambetti & Vezzosi, Rarità bibliografiche del Novecento
italiano, p. 934 : "Rarissimo e ricercatissimo".
