VIAU (Théophile de) Les OEuvres de Theophile. Divisées en trois parties. La premiere, contenant l’immortalité de l’Ame, avec plusieurs autres pieces. La seconde les Tragedies. Et la troisième, les pieces qu’il a faites pendant sa prison,...
Estimation :
400 - 500 €
Description
jusques à présent. De plus est augmenté la lettre contre Balzac, avec la sollitude du sieur S. Amand. Oeuvre d’Excellente Invention. Dediées aux beaux Esprits de ce temps. Rouen, Jean de La Mare, 1629.
3 parties en un volume in-8, reliure postérieure basane brune, dos à 5 nerfs orné.
Mors et nerfs frottés, mors du second plat fendillés sur 3 cm en tête, manque en pied, un coin usé. (16)-319-160-203 pp.
Manque 2 ff. (p. 103-106, soit le début de Pyrame et Thisbé) de la seconde partie, exemplaire court en tête.
Annotations anciennes en tête du titre, nombreux passage soulignés.
Ex-libris manuscrit : Emile Henriot 1926.
►Rare édition rouennaise en partie originale.
Les trois parties sont respectivement parues en 1621, 1623 et 1624 et ont été réunies pour la première fois en 1626.
La première partie contient notamment le Traicté de l’immortalité de l’Ame,
la seconde des odes et tragédie,
la troisième les pièces composées en prison et, in fine, la Lettre contre Balzac qui paraît ici pour la première fois.
Brunet V, 794.
3 parties en un volume in-8, reliure postérieure basane brune, dos à 5 nerfs orné.
Mors et nerfs frottés, mors du second plat fendillés sur 3 cm en tête, manque en pied, un coin usé. (16)-319-160-203 pp.
Manque 2 ff. (p. 103-106, soit le début de Pyrame et Thisbé) de la seconde partie, exemplaire court en tête.
Annotations anciennes en tête du titre, nombreux passage soulignés.
Ex-libris manuscrit : Emile Henriot 1926.
►Rare édition rouennaise en partie originale.
Les trois parties sont respectivement parues en 1621, 1623 et 1624 et ont été réunies pour la première fois en 1626.
La première partie contient notamment le Traicté de l’immortalité de l’Ame,
la seconde des odes et tragédie,
la troisième les pièces composées en prison et, in fine, la Lettre contre Balzac qui paraît ici pour la première fois.
Brunet V, 794.
