[MONTESSON (Charlotte-Jeanne Béraud, Marquise de)]. Recueil de quatre comédies. S.l.n.n. [Paris ?], 1772-1777.
Estimation :
1 000 / 1 500 €
Adjudication :
1 237 €
Description
Ensemble 4 pièces en deux volumes in-8, veau marbré, dos lisse orné à la grotesque, pièces de titre rouge et de tomaison noire, tranches rouges (Reliure de l'époque).
► RECUEIL EXTRÊMEMENT RARE DE TEXTES DRAMATIQUES DE LA MarquisE DE MONTESSON, L'ÉPOUSE DISCRÈTE DU DUC D'ORLÉANS.
Il comprend, en édition originale, les pièces suivantes :
▬ Marianne, ou L'Orpheline, comédie en cinq actes et en prose. S.l., 1772 (175 pages).
▬ La Marquise de Sainville, ou la Femme sincère, comédie, en trois actes, et en prose. S.l., 1777 (110 pages).
▬ Robert Sciarts, comédie, en cinq actes, et en prose. S.l., 1777 (2 feuillets et 163 pages).
▬ L'Heureux échange, comédie, en trois actes, et prose. S.l., 1777 (98 pages).
Veuve d'un Lieutenant-général des armées du Roi, illustre par son esprit et ses brillantes relations, la Marquise de Montesson (1737-1806) entretenait une liaison passionnelle avec le Duc d'Orléans, petit-fils du Régent, qu'elle épousa en secret en 1772-1773.
À la fin du siècle, son théâtre de la rue d'Antin était devenu un rendez-vous incontournable de la société parisienne. Dans ses Correspondances littéraires avec Diderot, Grimm en fait éloge.
► Les œuvres de la Marquise furent publiées en huit volumes à Paris en 1782-1785, par les soins de Didot l'aîné, sous le titre Œuvres anonymes ; les bibliographes indiquent qu'ELLES FURENT TIRÉES SEULEMENT À 12 EXEMPLAIRES puis distribuées par l'auteur à sa famille et ses amis.
On sait aussi que quelques exemplaires contenant un choix de ses comédies, comme le nôtre, furent imprimés avant cette édition : Il a été fait aussi un choix de Comédies de Madame de Montesson, en 2 vol. in-8. Ces deux volumes, qui n'ont point de titre, contiennent 4 pièces [...].
Ces deux volumes, plus rares encore que les précédents, paraissent avoir été exécutés dans une imprimerie particulière, avant l'impression des Œuvres anonymes dit Quérard, t. VI, p. 248.
Exemplaire relié avec goût, le dos orné à la grotesque.
Reliure usagée avec épidermures sur les plats, une coiffe accidentée.
► RECUEIL EXTRÊMEMENT RARE DE TEXTES DRAMATIQUES DE LA MarquisE DE MONTESSON, L'ÉPOUSE DISCRÈTE DU DUC D'ORLÉANS.
Il comprend, en édition originale, les pièces suivantes :
▬ Marianne, ou L'Orpheline, comédie en cinq actes et en prose. S.l., 1772 (175 pages).
▬ La Marquise de Sainville, ou la Femme sincère, comédie, en trois actes, et en prose. S.l., 1777 (110 pages).
▬ Robert Sciarts, comédie, en cinq actes, et en prose. S.l., 1777 (2 feuillets et 163 pages).
▬ L'Heureux échange, comédie, en trois actes, et prose. S.l., 1777 (98 pages).
Veuve d'un Lieutenant-général des armées du Roi, illustre par son esprit et ses brillantes relations, la Marquise de Montesson (1737-1806) entretenait une liaison passionnelle avec le Duc d'Orléans, petit-fils du Régent, qu'elle épousa en secret en 1772-1773.
À la fin du siècle, son théâtre de la rue d'Antin était devenu un rendez-vous incontournable de la société parisienne. Dans ses Correspondances littéraires avec Diderot, Grimm en fait éloge.
► Les œuvres de la Marquise furent publiées en huit volumes à Paris en 1782-1785, par les soins de Didot l'aîné, sous le titre Œuvres anonymes ; les bibliographes indiquent qu'ELLES FURENT TIRÉES SEULEMENT À 12 EXEMPLAIRES puis distribuées par l'auteur à sa famille et ses amis.
On sait aussi que quelques exemplaires contenant un choix de ses comédies, comme le nôtre, furent imprimés avant cette édition : Il a été fait aussi un choix de Comédies de Madame de Montesson, en 2 vol. in-8. Ces deux volumes, qui n'ont point de titre, contiennent 4 pièces [...].
Ces deux volumes, plus rares encore que les précédents, paraissent avoir été exécutés dans une imprimerie particulière, avant l'impression des Œuvres anonymes dit Quérard, t. VI, p. 248.
Exemplaire relié avec goût, le dos orné à la grotesque.
Reliure usagée avec épidermures sur les plats, une coiffe accidentée.
