VILLON (François). - Les Œuvres. Paris, De l’imprimerie d’Antoine-Urbain Coustelier, 1723. 3 parties en un volume in-12, veau fauve, dos orné, roulette intérieure dorée, tranches rouges (Reliure de l’époque).
Estimation :
600 / 800
Adjudication :
1000 €
Description
Première édition critique des œuvres de Villon, donnée par Eusèbe de Laurière et le père du Cerceau.
Elle fait partie de la collection Coustelier dont c’est le tome le plus recherché.
Exemplaire de François Guizot (1787-1874).
Servi par un exceptionnel talent oratoire, François Guizot fut l’un des pivots politiques de la seconde moitié du règne de Louis-Philippe.
Sur le plan international, on lui doit d’avoir consolidé dans un souci de paix les relations du pays avec les autres puissances européennes.
Quant aux affaires intérieures, son nom restera associé notamment au développement de l’enseignement primaire dont il s’attacha à développer les structures.
Historien, par ailleurs, dont les travaux furent très estimés, il contribua à donner une forte impulsion aux études historiques en France.
L’ouvrage est ensuite resté dans la famille, ses deux filles, Henriette et Pauline, ayant épousé deux frères, Conrad et Cornelis de Witt.
▬ Ex-dono : pour notre frère Cornelis et notre sœur Madeleine, 14 Décembre 1881,
▬ Ex-libris manuscrit : Robert de Witt.
Mors, coiffe inférieure et coins restaurés.
Tchemerzine, V, 980 – Brunet, V, 1249.
Elle fait partie de la collection Coustelier dont c’est le tome le plus recherché.
Exemplaire de François Guizot (1787-1874).
Servi par un exceptionnel talent oratoire, François Guizot fut l’un des pivots politiques de la seconde moitié du règne de Louis-Philippe.
Sur le plan international, on lui doit d’avoir consolidé dans un souci de paix les relations du pays avec les autres puissances européennes.
Quant aux affaires intérieures, son nom restera associé notamment au développement de l’enseignement primaire dont il s’attacha à développer les structures.
Historien, par ailleurs, dont les travaux furent très estimés, il contribua à donner une forte impulsion aux études historiques en France.
L’ouvrage est ensuite resté dans la famille, ses deux filles, Henriette et Pauline, ayant épousé deux frères, Conrad et Cornelis de Witt.
▬ Ex-dono : pour notre frère Cornelis et notre sœur Madeleine, 14 Décembre 1881,
▬ Ex-libris manuscrit : Robert de Witt.
Mors, coiffe inférieure et coins restaurés.
Tchemerzine, V, 980 – Brunet, V, 1249.
