L.A.S. « Seguier », Paris 4 février [1647], à Nicolas Couste, Lieutenant particulier au baillage et siège présidial de Sens ; 1 page in-fol., adresse avec cachet de cire rouge aux armes (portrait gravé joint).
Au sujet d’une affaire « concernant le testament du deffunct Monsieur le president Seguier mon oncle […] mais mes affaires me rettenant encor pour quelques jours de deca, jay pensé vous faire ce mot pour vous prier de nous rendre en cette occurrence la faveur en bienveillance que la matiere de nostre affaire peust porter »… Il ne se fera aucune précipitation en cette affaire, « laquelle est de si grand pois et consequence quelle merittent bien ung peu de temps pour donner loysir et aux parties de la solliciter et aux advocats de la deffendre. Nous pensions envoyer nos memoires pour instruire nos advocats mais l’indisposition survenue a celluy qui y travailloit nous a remis jusques icy, ce qui me fait desirer unne remise de la playdoirerie pour avoir le loisir de nous rendre de dela »…