ESPAGNE. MARIA-LUISA de Bourbon-Parme (1751-1819) Reine d’Espagne ; princesse de Parme, épouse de Charles IV d’Espagne. L.A.S. « Louise » et L.S. avec compliments autographes (minute), San Ildefonso 1806-1807 ; 1 page in-4 et 1 page...
Estimation :
400 - 500
Adjudication :
1 536 €
Description
in-fol. ; en français.
On joint une L.A.S. « Luisa » de sa fille Maria-Luisa, Reine d’Étrurie (1782-1824), à Louis XVIII, [1823] (2 p. in-4), remerciant S.M. et ses guerriers intrépides d’avoir rétabli son bien-aimé frère et seigneur [Ferdinand VII] dans les droits légitimes de sa couronne..22 août 1806, à l’Impératrice Joséphine. La lettre de « Madame ma sœur », présentée par son chambellan M. de Gavre, a été pour elle du plus haut prix : « j’eprouve la plus douce satisfaction en lui annonçant, qu’il a retenu de nous tout ce qu’il avoit demandé pour terminer son afaire a sa plus grande satisfaction. Ce n’est qu’un foible temoignage du vif interet que je prendrai toujours a tout ce qui peut être agreable a Votre Majesté »… 24 août 1807, minute de lettre avec ajouts autographes, à la Grande-duchesse de Berg [Caroline Bonaparte], lui envoyant le cordon de son Ordre royal comme témoignage d’affection à la sœur d’« un heros si digne de l’amour de tout le monde », et l’épouse d’« un Prince le plus digne compagnon des armes de S.M. l’Empereur et Roi »…
On joint une L.A.S. « Luisa » de sa fille Maria-Luisa, Reine d’Étrurie (1782-1824), à Louis XVIII, [1823] (2 p. in-4), remerciant S.M. et ses guerriers intrépides d’avoir rétabli son bien-aimé frère et seigneur [Ferdinand VII] dans les droits légitimes de sa couronne..22 août 1806, à l’Impératrice Joséphine. La lettre de « Madame ma sœur », présentée par son chambellan M. de Gavre, a été pour elle du plus haut prix : « j’eprouve la plus douce satisfaction en lui annonçant, qu’il a retenu de nous tout ce qu’il avoit demandé pour terminer son afaire a sa plus grande satisfaction. Ce n’est qu’un foible temoignage du vif interet que je prendrai toujours a tout ce qui peut être agreable a Votre Majesté »… 24 août 1807, minute de lettre avec ajouts autographes, à la Grande-duchesse de Berg [Caroline Bonaparte], lui envoyant le cordon de son Ordre royal comme témoignage d’affection à la sœur d’« un heros si digne de l’amour de tout le monde », et l’épouse d’« un Prince le plus digne compagnon des armes de S.M. l’Empereur et Roi »…
