Lot n° 441

- BEURNONVILLE (Frédéric de RIEL) Général en 1792, Ministre de la Guerre du 4 février au 1er avril 1793, comte de l'Empire 1808, Maréchal de France le 3 Juillet 1816 - Champignolle (Aube 1752 - Paris 1821). Lettre A.S. “Le Général Sénateur...

Estimation : 200 - 250
Adjudication : Invendu
Description
Le Comte de BEURNONVILLE” au château de BALAINCOURT (Balincourt 95) le 5 Juin 1811. 4pp in-4° - à Monsieur le Président. Sa lettre a fait deux fois le voyage de Paris à Balaincourt. Il lui apprend la mort de Madame de GOUVION. «Il m'a fallut pour ainsi dire enlever son excellent mari, qui, est avec nous à Balaincourt et que nous consolons de notre mieux.» puis il parle d'une affaire de partage située dans le Département de la Vendée dépendant de la Sénatorerie de Limoges. Il lui demande de lui remettre les Titres de propriétés de la Sénatorerie de Limoges et tous les documents et papiers relatifs. «Tous les propriétaires de ces départements se font exactement payer et j'aime à penser que je pourrai les imiter; c'est le plus mauvais service à des Fermiers que de les laisser arriérés; je le sais par mon expérience et je me corrige...» -
- BEURNONVILLE (Frédéric de RIEL) General in 1792, Minister of War from 4 February to 1 April 1793, Count of the Empire 1808, Marshal of France on 3 July 1816 - Champignolle (Aube 1752 - Paris 1821). Letter A.S. "Le Général Sénateur Le Comte de BEURNONVILLE" to the castle of BALAINCOURT (Balincourt 95) on 5 June 1811. 4pp in-4° - to Monsieur le Président. His letter made twice the trip from Paris to Balaincourt. He informed him of the death of Madame de GOUVION. "I had to, so to speak, kidnap her excellent husband, who is with us at Balaincourt and whom we console as best we can" then he speaks of a matter of division situated in the Department of the Vendée depending on the Limoges Senate. He asks him to give him the property titles of the Limoges Senator's office and all the documents and papers relating to it. "All the owners of these departments get exactly what they pay for and I like to think I could imitate them. It is the worst service to farmers to leave them in arrears. I know from experience and I stand corrected..." -
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