Lot n° 77

Timothy Mather SPELMAN (1891-1970) — Deux partitions d’orchestre.

Estimation : 250 - 300 €
Adjudication : 313 €
Description
Né à New York, Timothy Mather Spelman a longtemps résidé en Italie près de Florence, où il a composé la majeure partie de son œuvre, principalement pour formations de chambre, ainsi que quelques opéras. Ses « Giorni Santi », sorte de poèmes symphoniques ont intitulés Sorrento, Venice, Siena et Assisi. Il a légué ses archives à la John Hopkins University. On propose les œuvres suivantes : Christ and the blind Man. New York, The H.W. Gray company, 1921, grand in-4, agrafé, 52 pp. Premier tirage de la partition d’orchestre portant la mention « Partition corrigée 1933 » et des corrections musicales dans le texte de la main de l’auteur, ainsi qu’un envoi autographe signé à Walther Straram. Saints’ Day. London, Chester, 1926, petit in-folio, demi-basane bleu-nuit au chiffre W.S., couvertures conservées, 211 pp. Premier tirage de la partition d’orchestre, ornée en page de titre d’un envoi autographe signé du compositeur à W. Straram daté « August 1928 ». On joint une L.A.S. (2 pp.) de Spelman à Staram à propos de cette partition et des tempi, ainsi que : Christ and the blind Man (New York, The H.W. Gray company, 1921) ; in-4, agrafé, 30 pp. Premier tirage de l’arrangement pour piano à 4 mains, par l’auteur, qui a orné la page de titre d’un bel envoi autographe signé à W. Straram. Celui-ci a travaillé la partition (annotations au crayon rouge, deux collettes intérieures pour remplacer les agrafes défectueuses). La Magnifica (London, Chester, 1924) ; grand in-quarto, broché, 159 pp. Édition originale de la partition arrangée pour chant et piano par le compositeur de cette « tragédie en un acte » sur un livret de Leolyn Louise Everett, son épouse. Bel envoi autographe signé à Walther Straram, pour qui Spelman a, de sa main, entièrement traduit en français les paroles et les indications musicales de la partition. Beau document, impeccable intérieurement, dos recollé. Et une belle L.A.S. (5 pp.) du compositeur à W. Straram à propos de La Magnifica.
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