Lot n° 244

Jean PAULHAN (1884-1968). 3 L.A.S., à divers ; 6 pages in-8, à l’entête de la nrf. – Le 29 : sur les critiques « qui n’ont pas le temps » et sont mal payés : « Au fond, nous méprisons la critique littéraire, c’est ce qu’il...

Estimation : 200 - 250
Adjudication : 256 €
Description
vaudrait mieux s’avouer. Et la critique nous donne ce que nous attendons d’elle. Avez-vous jamais songé au scandale qu’était l’importance d’un Souday ? » Il évoque les critiques de Crémieux, Grenier, Albert Thibaudet… – À Henri Hertz : « Si vous parlez à Gide, je vous prie seulement de ne faire aucune allusion à moi ». – 11 mai [1957], à Jean Davray, le remerciant pour son livre Le Bruit de la Vie : « J’en aime presque déraisonnablement l’attaque ». Il se demande s’il est bien la Source Perrier : « Dans ce cas, je vois dois la ruine de ma famille, principale actionnaire des “Bouillants de Vergèze” (c’était le premier nom de votre source) ». Mais il est sans rancune…
On joint un manuscrit autographe (incomplet de la fin ; 2 p. in-8) de Paulhan, Un petit mot, justifiant ses mots sur les journalistes. Plus un manuscrit (par Charles Fouqueray ?), projet d’illustration pour Matelot de Pierre Loti ; et 2 manuscrits non identifiés.
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