Salorges Enchères. Nantes. VENDREDI 31 JANVIER 2025, à 11H00 et 14H00. Bibliographie et Livres anciens et Modernes ; Histoire ; Livres d'Arts ; Littérature ; Curiosités ; Sciences ; Régionalisme - Manuscrits. Divers. LIEUX de la vente 8 bis rue Chaptal – 44000. VOUS pouvez enchérir par téléphone ou sur ordre d’achat ferme Tél. : 33 (0) 2.40.69.91.10. ou DROUOT LIVE vous pouvez enchérir sur la plateformes (+1,8 % HT). AVEC INSCRIPTION AVANT LE VENDREDI 31 JANVIER à 9H00

Vendredi 31 janvier 2025

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REYBAUD Louis - Jérôme Paturot à la recherche de la meilleure des républiques. Édition …

Estimation : 80 - 100 EUR
Description
REYBAUD Louis - Jérôme Paturot à la recherche de la meilleure des républiques. Édition illustrée par Tony Johannot. Paris, Michel Lévy Fr. Libraires-Éditeurs, 1849, in-8° jésus (27,5 x 19,5 cm) de 2 ff. (faux-titre et titre), 580 pp.- 1f. (table), collationné complet de 30 planches hors-texte et 200 vignettes in-texte. Cartonnage éditeur pleine percaline bleu nuit, encadrement à froid, grande plaque dorée sur le plat supérieur avec bonnets phrygiens et figure de Napoléon au centre. Dos orné de fers spéciaux. Plat inférieur représentant Jérôme Paturot en bonnet de nuit. Toutes tranches dorées. [Reliure de Kaufmann, plaque de Haraus]. Exemplaire de premier tirage excepté la page de titre - vignette de titre à trois personnages ; le texte conforme aux notes de Brivois recensant les marques de premier tirage. Piqûres passim, cartonnage frais. Les véritables noms des personnages dessinés hors-texte sont indiqués au crayon. Réf. : Brivois 353, Carteret III-516, Clouzot 135, Sander 588, Vicaire VI-1102. Le personnage de Jérôme Paturot apparait dans Jérôme Paturot à la recherche d'une position sociale, en 1846 ; devant le succès de sa satyre, Reybaud (1799-1879) tenta à nouveau l'expérience en peignant la république de 1848. Paturot est l'homme de tous les arrivismes, dont la seule ferveur est de vivre de l'état. Satyre de la société et du pouvoir, on y voit le futur Napoléon III affublé d'un aigle empaillé. « J'ai peint la société française sous la monarchie et ne l'ai point flattée ; j'entreprends de la peindre ici sous la république et ne la flatterai pas davantage. Si les régimes changent les hommes restent, et au-dessus des fluctuations politiques, il y a les grandeurs et les faiblesses du cœur humain ».
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