BARRUCAND, Victor.- Le Chariot de terre cuite. D'après la pièce du théâtre indien attribuée au roi Soufraka. Illustrations de Léon Carré. Paris, Piazza, ( 1921).
Estimation :
200 / 250
Description
In-4°.
Rel. de l'époque : plein veau, plats cernés de larges cadres de chagrin rose et chagrin vert dans les coins cernés de roul. fleuronnées et parsemés de fleurons dorés, titre en hindi en chagrin noir au centre du plat sup., dos lisse titré doré avec cartouches de chagrin gris en tête et queue, coupes guillochées dorées, doublures de reps moiré vert émeraude à cadre de veau naturel, filets dorés et fleurons dans les angles, gardes de reps moiré vert émeraude, doubles gardes de papier marbré dans les tons, tête dorée, couv. et dos cons. Sous étui.
ÉDITION ORIGINALE de ce conte indien joliment illustré : couverture dans les verts et or, 3 ornements de chapitres à pleine page et 20 hors-texte coloriés au pochoir protégés de serpentes légendées. Mise en page travaillée : filets et frises ornées cernant le texte imprimé sur fond teinté avec bouts-de-lignes décorés. Ex. num. sur vélin BFK (n° 453).
Barrucand (1864-1934) vécut une partie de sa vie en Algérie où il prit part à la vie culturelle et politique en devenant journaliste, édita Isabelle Eberhardt qu'il connaissait bien et écrivit plusieurs ouvrages sur les peintres orientalistes. En 1895, à l'époque où il collabore à la Revue Blanche, il adapta pour le théâtre une pièce indienne qu'il transforma en ce conte en 1921.
Rel. de l'époque : plein veau, plats cernés de larges cadres de chagrin rose et chagrin vert dans les coins cernés de roul. fleuronnées et parsemés de fleurons dorés, titre en hindi en chagrin noir au centre du plat sup., dos lisse titré doré avec cartouches de chagrin gris en tête et queue, coupes guillochées dorées, doublures de reps moiré vert émeraude à cadre de veau naturel, filets dorés et fleurons dans les angles, gardes de reps moiré vert émeraude, doubles gardes de papier marbré dans les tons, tête dorée, couv. et dos cons. Sous étui.
ÉDITION ORIGINALE de ce conte indien joliment illustré : couverture dans les verts et or, 3 ornements de chapitres à pleine page et 20 hors-texte coloriés au pochoir protégés de serpentes légendées. Mise en page travaillée : filets et frises ornées cernant le texte imprimé sur fond teinté avec bouts-de-lignes décorés. Ex. num. sur vélin BFK (n° 453).
Barrucand (1864-1934) vécut une partie de sa vie en Algérie où il prit part à la vie culturelle et politique en devenant journaliste, édita Isabelle Eberhardt qu'il connaissait bien et écrivit plusieurs ouvrages sur les peintres orientalistes. En 1895, à l'époque où il collabore à la Revue Blanche, il adapta pour le théâtre une pièce indienne qu'il transforma en ce conte en 1921.
