BOUSQUET Joe. LE MÉDISANT PAR BONTÉ. Histoires d’avares, de folles, de peulucres, de pouillacres, de contarailles et contaraignes complétées par une note de Frérot sur la médisance. Paris, Gallimard, 1945. In-8, plein box violet, dos titré...
Estimation :
2 000/2 500 € /
Adjudication :
2 000 €
Description
au palladium, tête dorée, non rogné, couverture et dos conservés, étui (Bernard Bichon).
Édition originale. UN DES 13 PREMIERS EXEMPLAIRES SUR VÉLIN PUR FIL LAFUMA.
IMPORTANTE LETTRE AUTOGRAPHE SIGNÉE D’ANDRÉ GIDE ADRESSÉE LE 7 OCTOBRE 1945 À JOE BOUSQUET, 4 pages in-8 à
l’encre. Lettre autographe relative au Médisant par bonté : « Ce qui me perd voyez-vous, c’est ma prétention de vous
écrire, en remerciant, une jolie lettre ; je veux dire : une lettre à hauteur du livre. J’attends, j’attends en vain un bon
loisir, assez vaste ; et mon erreur, au moment de prendre la plume, c’est de rouvrir d’abord le livre sous prétexte de me
mettre en train. Dès lors je suis perdu, je n’en sors pas ; je n’en finis pas de vous relire.
A juger d’après mon plaisir, combien vous avez dû vous amuser à l’écrire ! On y trouve de tout : de l’excellent, de
l’exquis, du profond, du
Édition originale. UN DES 13 PREMIERS EXEMPLAIRES SUR VÉLIN PUR FIL LAFUMA.
IMPORTANTE LETTRE AUTOGRAPHE SIGNÉE D’ANDRÉ GIDE ADRESSÉE LE 7 OCTOBRE 1945 À JOE BOUSQUET, 4 pages in-8 à
l’encre. Lettre autographe relative au Médisant par bonté : « Ce qui me perd voyez-vous, c’est ma prétention de vous
écrire, en remerciant, une jolie lettre ; je veux dire : une lettre à hauteur du livre. J’attends, j’attends en vain un bon
loisir, assez vaste ; et mon erreur, au moment de prendre la plume, c’est de rouvrir d’abord le livre sous prétexte de me
mettre en train. Dès lors je suis perdu, je n’en sors pas ; je n’en finis pas de vous relire.
A juger d’après mon plaisir, combien vous avez dû vous amuser à l’écrire ! On y trouve de tout : de l’excellent, de
l’exquis, du profond, du
