GUYANE. ▬ •Antoine de RUFFI de PONTEVES-GEVAUDAN (1791/1868), avocat, président de la Cour de Martinique. Lettre autographe signée à « monsieur le comte » [Portalis], 2 pp. in-4. Cayenne, 5 septembre 1831. Le remerciant de la part prise à...
Estimation :
150 / 200 €
Adjudication :
Invendu
Description
sa nomination.
• Seconde Guerre Mondiale. Robert Chot, gouverneur de la Guyane (1938-1942). Carte de visite autographe signée. « De passage à Vichy, serai de retour le 4 septembre, me ferai un plaisir de vous apporter de vive voix des nouvelles de vos Martiniquais […] ».
• Robert Vignon, préfet de la Guyane. Lettre dactylographiée signée « très confidentielle » à M. de Chalendar avec double de la réponse. 3 pp. in-4. Cayenne, février 1949. Il s’oppose aux vues développées par Bernard Pacilly qui considère « qu’il ne faut rien tenter en Guyane si ce n’est avec des moyens chiffrés par dizaines de milliards […]. En attendant, au nom de la conception Pacili, on freine tous les autres projets et la Guyane crève de faim en espérant une manne providentielle et à mon avis bien aléatoire […]. Pour ma part, je connais maintenant la Guyane jusque dans l’intérieur où M. Pacili n’est jamais allé […]. J’ai lu en juillet le Plan qu’il propose. Il relève du domaine de la chimère. C’est un plan qui ne tient aucun compte des réalités […]. Il m’est assez pénible de voir tous les efforts que je fais sournoisement sapés dans la Métropole et cela probablement par la faute de M. Pacili […] ».
• Seconde Guerre Mondiale. Robert Chot, gouverneur de la Guyane (1938-1942). Carte de visite autographe signée. « De passage à Vichy, serai de retour le 4 septembre, me ferai un plaisir de vous apporter de vive voix des nouvelles de vos Martiniquais […] ».
• Robert Vignon, préfet de la Guyane. Lettre dactylographiée signée « très confidentielle » à M. de Chalendar avec double de la réponse. 3 pp. in-4. Cayenne, février 1949. Il s’oppose aux vues développées par Bernard Pacilly qui considère « qu’il ne faut rien tenter en Guyane si ce n’est avec des moyens chiffrés par dizaines de milliards […]. En attendant, au nom de la conception Pacili, on freine tous les autres projets et la Guyane crève de faim en espérant une manne providentielle et à mon avis bien aléatoire […]. Pour ma part, je connais maintenant la Guyane jusque dans l’intérieur où M. Pacili n’est jamais allé […]. J’ai lu en juillet le Plan qu’il propose. Il relève du domaine de la chimère. C’est un plan qui ne tient aucun compte des réalités […]. Il m’est assez pénible de voir tous les efforts que je fais sournoisement sapés dans la Métropole et cela probablement par la faute de M. Pacili […] ».
