ÉLOY D'AMERVAL La Grande Diablerie. Poème du XVe siècle. Paris, Georges Hurtrel, 1884.
Estimation :
800 - 1 200 €
Adjudication :
752 €
Description
Petit in-12 de 1 frontispice, 216 pp., 3 figures: maroquin rouge, dos à nerfs orné de caissons de filets et diablotins dorés, triple filet et roulette dorés encadrant les plats, deux diables dorés et mosaïqués de pièces de maroquin en plusieurs tons sur les plats, larges encadrements intérieurs de maroquin noir ornés d'une succession de diables dorés avec hiboux dorés dans les angles, doublures et gardes de soie noire, tranches dorées sur témoins, couvertures et dos conservés (Ruban).
→La plus belle édition moderne de ce grand poème publié pour la première fois en 1508 (Paris, Michel Le Noir).
Le poème d'Eloy d'Amerval (1455-1508) est un dialogue entre Lucifer et son représentant dans le monde, Satan. L'ouvrage traite de sorcellerie et aborde un grand nombre de sujets: le mariage, la gourmandise, la chasse, le jeu, la justice.
L'illustration comprend un frontispice et 3 eaux-fortes originales hors texte de Paul Avril ainsi que de nombreuses compositions dans le texte de Gustave Fraipont, tirées en noir, bistre, rouille et bleu.
Un des 50 exemplaires sur papier de Chine (n° 13), avec les eaux-fortes en deux états, avant et avec la lettre.
→Belle reliure mosaïquée de Ruban exécutée pour le viComte Ferdinand-Antoine de La Croix-Laval (1858-1942), avec ses armes dorées sur la première doublure.
Mors supérieur faible.
→La plus belle édition moderne de ce grand poème publié pour la première fois en 1508 (Paris, Michel Le Noir).
Le poème d'Eloy d'Amerval (1455-1508) est un dialogue entre Lucifer et son représentant dans le monde, Satan. L'ouvrage traite de sorcellerie et aborde un grand nombre de sujets: le mariage, la gourmandise, la chasse, le jeu, la justice.
L'illustration comprend un frontispice et 3 eaux-fortes originales hors texte de Paul Avril ainsi que de nombreuses compositions dans le texte de Gustave Fraipont, tirées en noir, bistre, rouille et bleu.
Un des 50 exemplaires sur papier de Chine (n° 13), avec les eaux-fortes en deux états, avant et avec la lettre.
→Belle reliure mosaïquée de Ruban exécutée pour le viComte Ferdinand-Antoine de La Croix-Laval (1858-1942), avec ses armes dorées sur la première doublure.
Mors supérieur faible.
