FRÉNAUD (André). Tombeau de mon père. Paris, Éditions Galanis, 21 avril 1961. In-4 (326 x 255 mm) de [2] ff. blancs, 22 pp., [3] ff. (Fin du texte ; Justification ; Achevé d’imprimer), 2 ff. blancs, reliure ancienne box noir, pièces de box...
Estimation :
1800 / 2000
Adjudication :
2500 €
Description
bleu nuit, gris anthracite, vieux rose, vert glauque, en relief sur les plats (avec rectangles en creux), dos lisse, titre à la chinoise poussé à froid, doublures et gardes de daim marron, entièrement non rogné, couverture et dos, chemise à dos et bandes de même box, étui ([Georges] Leroux. 1985).
Édition ornée de 7 eaux-fortes originales de Maurice Estève dont quatre hors texte ; elles sont tirées en teintes légères de bistre, de vert et de bleu.#Tirage à 112 exemplaires, tous signés par l’auteur et par l’artiste. Celui-ci est l’un des 79 sur papier d’Auvergne Richard-de-Bas ainsi répartis : dix numérotés de 22 à 31 avec suite sur papier d’Auvergne vert céladon ; dix numérotés de 32 à 41 avec suite sur papier d’Auvergne crème ; cinquante-neuf sur papier d’Auvergne crème numérotés de 42 à 100 (n° 42).#Dédicace autographe sur le faux-titre : « À Colette Gallimard, ce poème plein d’amour, cordialement André Frénaud 12 mars 1993 ». Sur la page en vis-à-vis fragment autographe du poème de la page 18 :#« Que porté-je dans les mains qui sache bruire# Quelle profonde musique#À laquelle seraient les hommes redevables# Assez douloureuse et resplendissante pour les émouvoir ».#Monod, n° 5022.
Édition ornée de 7 eaux-fortes originales de Maurice Estève dont quatre hors texte ; elles sont tirées en teintes légères de bistre, de vert et de bleu.#Tirage à 112 exemplaires, tous signés par l’auteur et par l’artiste. Celui-ci est l’un des 79 sur papier d’Auvergne Richard-de-Bas ainsi répartis : dix numérotés de 22 à 31 avec suite sur papier d’Auvergne vert céladon ; dix numérotés de 32 à 41 avec suite sur papier d’Auvergne crème ; cinquante-neuf sur papier d’Auvergne crème numérotés de 42 à 100 (n° 42).#Dédicace autographe sur le faux-titre : « À Colette Gallimard, ce poème plein d’amour, cordialement André Frénaud 12 mars 1993 ». Sur la page en vis-à-vis fragment autographe du poème de la page 18 :#« Que porté-je dans les mains qui sache bruire# Quelle profonde musique#À laquelle seraient les hommes redevables# Assez douloureuse et resplendissante pour les émouvoir ».#Monod, n° 5022.
