BOFA (Gus). La Symphonie de la peur. [Paris], L'Artisan du livre, 1937. In-4, maroquin noir, décor mosaïqué géométrique rayonnant à partir d’un œil, formé de pièces de cuir polychromes avec filets à froid et dorés, dos lisse, cadre...
Estimation :
2000
Adjudication :
6344 €
Description
intérieur orné de filets dorés, tranches dorées, couverture et dos (Ersé).
Édition originale illustrée de 40 planches hors texte par Gus Bofa. Un des 100 exemplaires hors commerce numérotés sur vélin Lafuma-Navarre. Envoi autographe signé de Gus Bofa avec dessin original « pour Madame J. Galtier Boissière et pour son mari, avec l’amitié de Gus Bofa ». Le dessin représente un homme ayant ouvert sa porte et scrutant anxieusement l’obscurité de son palier (crayon, 16 x 8 cm). Gus Bofa tint de 1922 à 1939 la chronique littéraire du Crapouillot, journal dirigé par Jean Galtier-Boissière. Exemplaire enrichi de 3 pièces : – Un manuscrit autographe de Gus Bofa, recueil de 11 de ses critiques littéraires destinées au Crapouillot (1932-janvier 1934, 8 pp. in-4 au crayon). Une des critiques concerne une biographie de Lawrence d’Arabie, l’ouvrage de Robert Graves Lawrence et les Arabes (Nrf, 1933) : « ... Cet homme d’un autre âge, après avoir remué tout un monde, par le seul prestige d’un courage et d’une fantaisie prodigieux, vit, paraît-il, aujourd’hui dans je ne sais quelle caserne d’artillerie, où il s’est retiré, moine militaire de 2e classe, après avoir été colonel anglais en titre, et général d’une armée qu’il s’était donnée à lui-même... » – Une eau-forte rehaussée de couleurs par Gus Bofa, carte de vœux pour 1930. – Un portrait de Gus Bofa par Jean Oberlé, dessin original avec dédicace autographe signée de l’artiste à son « cher colonel » (encre, 13 x 10,5 cm, sur calque). Il travaillait également au Crapouillot. Carteret Illustrés IV, p.76.
Édition originale illustrée de 40 planches hors texte par Gus Bofa. Un des 100 exemplaires hors commerce numérotés sur vélin Lafuma-Navarre. Envoi autographe signé de Gus Bofa avec dessin original « pour Madame J. Galtier Boissière et pour son mari, avec l’amitié de Gus Bofa ». Le dessin représente un homme ayant ouvert sa porte et scrutant anxieusement l’obscurité de son palier (crayon, 16 x 8 cm). Gus Bofa tint de 1922 à 1939 la chronique littéraire du Crapouillot, journal dirigé par Jean Galtier-Boissière. Exemplaire enrichi de 3 pièces : – Un manuscrit autographe de Gus Bofa, recueil de 11 de ses critiques littéraires destinées au Crapouillot (1932-janvier 1934, 8 pp. in-4 au crayon). Une des critiques concerne une biographie de Lawrence d’Arabie, l’ouvrage de Robert Graves Lawrence et les Arabes (Nrf, 1933) : « ... Cet homme d’un autre âge, après avoir remué tout un monde, par le seul prestige d’un courage et d’une fantaisie prodigieux, vit, paraît-il, aujourd’hui dans je ne sais quelle caserne d’artillerie, où il s’est retiré, moine militaire de 2e classe, après avoir été colonel anglais en titre, et général d’une armée qu’il s’était donnée à lui-même... » – Une eau-forte rehaussée de couleurs par Gus Bofa, carte de vœux pour 1930. – Un portrait de Gus Bofa par Jean Oberlé, dessin original avec dédicace autographe signée de l’artiste à son « cher colonel » (encre, 13 x 10,5 cm, sur calque). Il travaillait également au Crapouillot. Carteret Illustrés IV, p.76.
