ÉCRIVAINS DU XXE SIÈCLE. Environ 100 lettres, cartes autographes signées, formats divers. Enveloppes. T. Bernard (16) le 29 janvier 1915 : « … leur métier est d’écrire non de signer… », Maxime de vie 1923 : « … La véracité est le...
Estimation :
1 000/1 500 €
Adjudication :
2 794 €
Description
meilleur aide mémoire… » ;
Carco (27) 21 mars 1913 : « … je prépare avec… Derème une anthologie des poètes fantaisistes… » ;
Colette (2) Maxime de Vie 1929 : « Vous n’allez pas me croire… Le scrupule… » ;
Derème (2) : 14 juin 1912 : « … le prince des poètes… : M.Francis Jammes… Comme Colomb, il a créé pour moi un nouveau monde…» ;
Léautaud (1) ; Londres (1) : Maxime de vie 1931 « … Apprendre et connaître… » ;
Mac-Orlan (18) : maxime de vie 1923 « … Nous vivons dans une époque qui nous utilise sans déchets : ce n’est pas reposant… » ;
Marinetti (2) le (13/9/1908) « … Je vous remercie… des beaux éloges que vous avez prodigués à mon livre sur d’Annunzio son succès grandit de jour en jour… » ;
Montesquiou (8) poème autographe signé (déchirures) intitulé Carnage, paru dans Les Paons (1908) : « … La nappe du silence en est toute percée/ Et laisse, par ces trous, / S’enfuir l’aérienne extase dispersée / Au travers du ciel roux… » ;
Verhaeren (17).
Carco (27) 21 mars 1913 : « … je prépare avec… Derème une anthologie des poètes fantaisistes… » ;
Colette (2) Maxime de Vie 1929 : « Vous n’allez pas me croire… Le scrupule… » ;
Derème (2) : 14 juin 1912 : « … le prince des poètes… : M.Francis Jammes… Comme Colomb, il a créé pour moi un nouveau monde…» ;
Léautaud (1) ; Londres (1) : Maxime de vie 1931 « … Apprendre et connaître… » ;
Mac-Orlan (18) : maxime de vie 1923 « … Nous vivons dans une époque qui nous utilise sans déchets : ce n’est pas reposant… » ;
Marinetti (2) le (13/9/1908) « … Je vous remercie… des beaux éloges que vous avez prodigués à mon livre sur d’Annunzio son succès grandit de jour en jour… » ;
Montesquiou (8) poème autographe signé (déchirures) intitulé Carnage, paru dans Les Paons (1908) : « … La nappe du silence en est toute percée/ Et laisse, par ces trous, / S’enfuir l’aérienne extase dispersée / Au travers du ciel roux… » ;
Verhaeren (17).
