SEGAUD Guillaume de. Castra Compendiensia, sive Serenissimi Burgundiae Ducis Institutio Bellica. Paris, Antoine Lambin, 1698 ; petit in-8 de 47-[1] pp., reliure de l’époque maroquin rouge, dentelle dorée en encadrement sur les plats, armes au...
Estimation :
3 000 / 4 000 €
Adjudication :
3 304 €
Description
centre, dos à nerfs fleurdelisé, doublures de maroquin rouge bordées d’une dentelle dorée, tranches dorées.
Poème latin, suivi de sa traduction française, composé par un célèbre prédicateur jésuite à l’occasion de la tenue du camp de Compiègne en 1698. Cette fastueuse cérémonie était destinée à impressionner l’Europe qui menaçait de se coaliser contre la France ; mise en scène par Louis XIV en l’honneur de fils, le Duc de Bourgogne, elle était aussi destinée à former ce dernier à la science militaire.
Splendide exemplaire de dédicace, réglé, aux armes du Grand Dauphin, Duc de Bourgogne, fils de Louis XIV (1661-1711).
Ex-libris de célèbres collectionneurs du XIXe siècle J. J. Debure (daté 1832), ex-libris en maroquin rouge du Baron Léopold Double ;
ex-libris du bibliophile Edouard Moura ;
cachet I. L. H.
Ce poème est évoqué comme la pièce principale de Ségaud par Quérard (La France littéraire, IX, p. 16).
Olivier, Hermal et Roton, Manuel de l’amateur de reliures armoriées françaises, planche 2522, fer 6 en réduction.
Poème latin, suivi de sa traduction française, composé par un célèbre prédicateur jésuite à l’occasion de la tenue du camp de Compiègne en 1698. Cette fastueuse cérémonie était destinée à impressionner l’Europe qui menaçait de se coaliser contre la France ; mise en scène par Louis XIV en l’honneur de fils, le Duc de Bourgogne, elle était aussi destinée à former ce dernier à la science militaire.
Splendide exemplaire de dédicace, réglé, aux armes du Grand Dauphin, Duc de Bourgogne, fils de Louis XIV (1661-1711).
Ex-libris de célèbres collectionneurs du XIXe siècle J. J. Debure (daté 1832), ex-libris en maroquin rouge du Baron Léopold Double ;
ex-libris du bibliophile Edouard Moura ;
cachet I. L. H.
Ce poème est évoqué comme la pièce principale de Ségaud par Quérard (La France littéraire, IX, p. 16).
Olivier, Hermal et Roton, Manuel de l’amateur de reliures armoriées françaises, planche 2522, fer 6 en réduction.
