Paul VERLAINE. 1844-1896. Écrivain poète. L.A.S. "Paul Verlaine", à Edmond Lepelletier. 17 rue de la Roquette (1883). 2 pp. bi-feuillet in-8. →A propos des contes et poèmes que Verlaine fit paraître dans Le Réveil de Lepelletier ou dans...
Estimation :
3 000 / 3 500 €
Adjudication :
Invendu
Description
Le Nain jaune :
Voici un Paris-Vivant, que je crois assez souligné pour ne pas te dire que c'est du Voltaire (assez important au fond) qu'il s'agit. Les prénoms t'indiqueront assez les noms, — même estropiés, comme fallait, comme il avait ‘phallus’! Et c'est Pablo et c'est Machin et c'est Chose qui s'appelle ton vieux (…) Eté, tout à l'heure, chez ton beau-frère, le peintre. Parti, et son tableau aussi. Si moyen de savoir son adresse, de pouvoir voir son tableau et faire vers en question, que ferai bien volontiers, — écris-moi n'est-ce pas ? (…)
En outre des choses Saint-Merry ["Des Morts", 2 juin 1872 et avril 1874], si tu avais la collection du Nain Jaune, où il y a Le Monstre [poème publié le 28 sept. 1868 dans Le Nain Jaune où le Pelletier était chargé, de la chronique parisienne et de la critique théâtrale], veuille aussi me le mettre de côté (…).
Correspondance générale I, Fayard, p. 792.
Voici un Paris-Vivant, que je crois assez souligné pour ne pas te dire que c'est du Voltaire (assez important au fond) qu'il s'agit. Les prénoms t'indiqueront assez les noms, — même estropiés, comme fallait, comme il avait ‘phallus’! Et c'est Pablo et c'est Machin et c'est Chose qui s'appelle ton vieux (…) Eté, tout à l'heure, chez ton beau-frère, le peintre. Parti, et son tableau aussi. Si moyen de savoir son adresse, de pouvoir voir son tableau et faire vers en question, que ferai bien volontiers, — écris-moi n'est-ce pas ? (…)
En outre des choses Saint-Merry ["Des Morts", 2 juin 1872 et avril 1874], si tu avais la collection du Nain Jaune, où il y a Le Monstre [poème publié le 28 sept. 1868 dans Le Nain Jaune où le Pelletier était chargé, de la chronique parisienne et de la critique théâtrale], veuille aussi me le mettre de côté (…).
Correspondance générale I, Fayard, p. 792.
