ARTAUD, Antonin. L'Art et la Mort. Paris, Robert Denoël, A l'enseigne des Trois Magots [Imp. François Bernouard], 1929. In-4 (285 x 195 mm) de (2)-87-(9) pp. : broché, couverture crème imprimée en noir et bistre, conservé sous étui-chemise...
Estimation :
1 500 / 2 000 €
Adjudication :
1 754 €
Description
de papier noir.
→Édition originale.
Elle est ornée en frontispice d'un dessin de Jean de Bosschère.
►Tirage limité à 800 exemplaires, celui-ci sur pur fil Lafuma (n° 368).
Sept poèmes en prose, délirants et déchirants – une écriture magnétique et urgente : "Plein de rages, et sans sérénité ni pardon, mes torrents se font de plus en plus volumineux et s'enfoncent, et j'ajoute en plus des menaces et des duretés d'astres et de firmaments".
►Exemplaire de Jean Paulhan, avec ce bel envoi autographe sur le premier feuillet blanc :
à Jean Paulhan
qui sait se servir du langage
un homme que sa langue
a toujours desservi
avec son très sincère souvenir
Antonin Artaud
Dos un peu gauchi, petits accrocs aux coiffes.
→Édition originale.
Elle est ornée en frontispice d'un dessin de Jean de Bosschère.
►Tirage limité à 800 exemplaires, celui-ci sur pur fil Lafuma (n° 368).
Sept poèmes en prose, délirants et déchirants – une écriture magnétique et urgente : "Plein de rages, et sans sérénité ni pardon, mes torrents se font de plus en plus volumineux et s'enfoncent, et j'ajoute en plus des menaces et des duretés d'astres et de firmaments".
►Exemplaire de Jean Paulhan, avec ce bel envoi autographe sur le premier feuillet blanc :
à Jean Paulhan
qui sait se servir du langage
un homme que sa langue
a toujours desservi
avec son très sincère souvenir
Antonin Artaud
Dos un peu gauchi, petits accrocs aux coiffes.
