[MAGIE].— JAMBLIQUE. Iamblichus de mysteriis aegyptiorum, Chaldæorum, Assyriorum. Lugduni Ioan. Tornæsium [Lyon, Jean de Tournes], 1549 ; in-16, basane vert bronze, trois filets dorés en encadrement sur les plats, dos à nerfs orné de motifs...
Estimation :
300 / 400
Adjudication :
250 €
Description
dorés, pièce de titre rouge, tranches marbrées, [rel. du XVIIIe s.], coins très légèrement frottés.
543 p.
Première édition chez de Tournes.
Recueil de cinq traités des principaux philosophes néo-platoniciens, traduits par Marsile Ficin, paru pour la première fois en 1497. Le premier, De mysteriis aegyptiorum (Les Mystères d’Égypte) est l’œuvre du philosophe du IVe siècle Jamblique. Il constitue une réponse au philosophe Porphyre qui attaquait la magie égyptienne et l’interprétation ritualiste de la théurgie (magie qui permettait à l’homme de communiquer avec les bons esprits).
Suivent le Commentaire de l’Alcibade de Platon par le philosophe Proclus, le De divinis atque daemonibus de Porphyre de Tyre, le Dæminubus de Psellus ainsi que le Pimander et l’Asclepius d’Hermès Trismégiste. Ce dernier traité a été traduit par Apulée. Des passages soulignés, quelques remarques marginbales (certaines illisibles, le papier ayant bu l’encre). Bon exemplaire.
543 p.
Première édition chez de Tournes.
Recueil de cinq traités des principaux philosophes néo-platoniciens, traduits par Marsile Ficin, paru pour la première fois en 1497. Le premier, De mysteriis aegyptiorum (Les Mystères d’Égypte) est l’œuvre du philosophe du IVe siècle Jamblique. Il constitue une réponse au philosophe Porphyre qui attaquait la magie égyptienne et l’interprétation ritualiste de la théurgie (magie qui permettait à l’homme de communiquer avec les bons esprits).
Suivent le Commentaire de l’Alcibade de Platon par le philosophe Proclus, le De divinis atque daemonibus de Porphyre de Tyre, le Dæminubus de Psellus ainsi que le Pimander et l’Asclepius d’Hermès Trismégiste. Ce dernier traité a été traduit par Apulée. Des passages soulignés, quelques remarques marginbales (certaines illisibles, le papier ayant bu l’encre). Bon exemplaire.
