HARDY (Joseph). Voyage pittoresque et descriptif dans les Hautes-Pyrénées, contenant plusieurs détails sur les établissements thermaux de ce département. Traduit de l'anglais, avec vingt-quatre appendices ajoutés par B. Barère-de-Vieuzac....
Estimation :
300 - 400
Adjudication :
400 €
Description
Tarbes, F. Lavigne, 1839. In-18, broché, couverture bleue imprimée, non rogné.
ÉDITION ORIGINALE de la traduction française, peu commune et très recherchée, du voyage de Hardy dans les Pyrénées, publié à Londres en 1825.
L'édition française ne reprend pas l'illustration gravée à l'aquatinte de l'originale anglaise, mais elle est dotée d'appendices inédits, occupant près de la moitié du volume, qui fournissent de petits tableaux des sites importants des Hautes-Pyrénées, en notations brèves et sans liaison.
Or, suivant Beraldi, tout « l'intérêt de ce petit volume est dans le nom de l'auteur des appendices » :
Bertrand Barère (1755-1841), dit Barère de Vieuzac, le fameux rapporteur du Comité de Salut public que l'on avait surnommé l’Anacréon de la guillotine.
EXEMPLAIREBROCHÉ ET BIEN FRAIS, DANS SA SÉDUISANTE PREMIÈRE CONDITION.
Beraldi, Cent ans aux Pyrénées, II, 92-93 – Labarère, I, n°741 – Perret, n°2156 (note).
ÉDITION ORIGINALE de la traduction française, peu commune et très recherchée, du voyage de Hardy dans les Pyrénées, publié à Londres en 1825.
L'édition française ne reprend pas l'illustration gravée à l'aquatinte de l'originale anglaise, mais elle est dotée d'appendices inédits, occupant près de la moitié du volume, qui fournissent de petits tableaux des sites importants des Hautes-Pyrénées, en notations brèves et sans liaison.
Or, suivant Beraldi, tout « l'intérêt de ce petit volume est dans le nom de l'auteur des appendices » :
Bertrand Barère (1755-1841), dit Barère de Vieuzac, le fameux rapporteur du Comité de Salut public que l'on avait surnommé l’Anacréon de la guillotine.
EXEMPLAIREBROCHÉ ET BIEN FRAIS, DANS SA SÉDUISANTE PREMIÈRE CONDITION.
Beraldi, Cent ans aux Pyrénées, II, 92-93 – Labarère, I, n°741 – Perret, n°2156 (note).
