FRANCE (Anatole). Thaïs. Paris, Collection des dix, Romagnol, 1900. In-4, maroquin brun orné sur le premier plat d’un grand cuir incisé, tranches dorées, bordure intérieure ornée de 7 filets, gardes de brocart, couverture et dos, double étui...
Estimation :
1500 - 2000
Adjudication :
2500 €
Description
(Noulhac).
Édition illustrée de 62 compositions de Paul-Albert Laurens, dont 7 hors-texte gravés à l’eau-forte par Léon Boisson.
Tirage à 300 exemplaires, celui-ci hors-commerce, non justifié, sur Arches, très grand de marges.
─ Exemplaire enrichi :
– une belle aquarelle originale signée de Laurens, montrant la petite Thaïs suivant le Nubien dans le cellier (21 x 16 cm),
– une eau-forte avant la lettre de l’affichette sur japon.
♦ Somptueuse reliure ornée d’un panneau dessiné et exécuté par Gustave Guetant, daté 1905, incisé et colorié, représentant Thaïs entraînée par le moine hors de la salle du banquet où se déroulent des scènes d’orgie.
─ On a, en outre, joint
• un volume de suites in-4, bradel, demi-maroquin aubergine avec coins, dos lisse (Carayon). 3 suites complètes sur vélin des eaux-fortes en divers états, avec remarques (1er état, non signé, suite annotée N, signée au crayon par le graveur, suite signée par le graveur avec pour certaines eaux-fortes la mention « Bon à tirer »).
Les gravures sont montées sur onglets.
Quelques piqûres sur les gravures des suites.
─ On joint sous portefeuilles :
• un manuscrit autographe signé d’Anatole France, ½ p. in-4, extrait de Thaïs, le Banquet (pp. 115-126),
• une pièce musicale autographe signée de J. Massenet datée 25 déc. 1911, début de la « Méditation de Thaïs » 9 mesures, 1 p. in-8.
Cette célèbre mélodie jouée par le violon est extraite de l’opéra dont le livret fut tiré du roman d’Anatole France et dont la première représentation eut lieu à l’Opéra en 1894.
Édition illustrée de 62 compositions de Paul-Albert Laurens, dont 7 hors-texte gravés à l’eau-forte par Léon Boisson.
Tirage à 300 exemplaires, celui-ci hors-commerce, non justifié, sur Arches, très grand de marges.
─ Exemplaire enrichi :
– une belle aquarelle originale signée de Laurens, montrant la petite Thaïs suivant le Nubien dans le cellier (21 x 16 cm),
– une eau-forte avant la lettre de l’affichette sur japon.
♦ Somptueuse reliure ornée d’un panneau dessiné et exécuté par Gustave Guetant, daté 1905, incisé et colorié, représentant Thaïs entraînée par le moine hors de la salle du banquet où se déroulent des scènes d’orgie.
─ On a, en outre, joint
• un volume de suites in-4, bradel, demi-maroquin aubergine avec coins, dos lisse (Carayon). 3 suites complètes sur vélin des eaux-fortes en divers états, avec remarques (1er état, non signé, suite annotée N, signée au crayon par le graveur, suite signée par le graveur avec pour certaines eaux-fortes la mention « Bon à tirer »).
Les gravures sont montées sur onglets.
Quelques piqûres sur les gravures des suites.
─ On joint sous portefeuilles :
• un manuscrit autographe signé d’Anatole France, ½ p. in-4, extrait de Thaïs, le Banquet (pp. 115-126),
• une pièce musicale autographe signée de J. Massenet datée 25 déc. 1911, début de la « Méditation de Thaïs » 9 mesures, 1 p. in-8.
Cette célèbre mélodie jouée par le violon est extraite de l’opéra dont le livret fut tiré du roman d’Anatole France et dont la première représentation eut lieu à l’Opéra en 1894.
