DUBUFFET, Jean Quelques introductions au Cosmorama de Jean Dubuffet satrape. 7 clinamen LXXXVII [1960]Charleville,imprimé pour le Collège de Pataphysique sur les presses de L'Ardennais,gr. in-8, couv. de papier noir ill. en gris rosé (pourtour...
Estimation :
200 / 300
Adjudication :
160 €
Description
du plat sup. lég. écrasé), 157-[3] pp. Bon ex.
Edition originale posthume publiée par le bibliophile, collectionneur et mécène suisse Revilliod (1817-1890). Ex. enrichi d'une lettre aut.s. à l'imprimeur et éditeur lyonnais Léonard Boitel, s.l., 28/10/[1843], 4 pp. sur 1 double f., in-12. Belle lettre dans laquelle elle évoque avec douleur 2 peintres qui viennent de mourir : Antoine Berjon (1754-1843 : "On n'a pas assez honoré sa vie à Lyon. Sa vie innocente, honorable et glorieuse - mon Dieu ! quel talent ! - mon Dieu ! quelle tristesse - il est en allé") et Petrus Perlet (1804-1843 : "Comment ! il est donc mort debout, en souriant à ses amis ? - et sa pauvre mère ? comme tout cela est silencieux et triste. Quelle année pour mes affections (...)". La poésie de Mme Desbordes-Valmore fut admirée par ses contemporains dont Balzac, Baudelaire et spécialement Verlaine qui s'inspira de sa prosodie dans "Romances sans paroles". Cadre gravé sur bois sur le titre, qqs vignettes in texto. Couv. à l'adresse de "Paris, Dentu". Complet du f. d'annonce in fine. Petit cachet de collectionneur dans le coin sup. g. de la lettre. Etiq. ancienne du libraire Charpentier à Mâcon au verso de la couv.
Edition originale posthume publiée par le bibliophile, collectionneur et mécène suisse Revilliod (1817-1890). Ex. enrichi d'une lettre aut.s. à l'imprimeur et éditeur lyonnais Léonard Boitel, s.l., 28/10/[1843], 4 pp. sur 1 double f., in-12. Belle lettre dans laquelle elle évoque avec douleur 2 peintres qui viennent de mourir : Antoine Berjon (1754-1843 : "On n'a pas assez honoré sa vie à Lyon. Sa vie innocente, honorable et glorieuse - mon Dieu ! quel talent ! - mon Dieu ! quelle tristesse - il est en allé") et Petrus Perlet (1804-1843 : "Comment ! il est donc mort debout, en souriant à ses amis ? - et sa pauvre mère ? comme tout cela est silencieux et triste. Quelle année pour mes affections (...)". La poésie de Mme Desbordes-Valmore fut admirée par ses contemporains dont Balzac, Baudelaire et spécialement Verlaine qui s'inspira de sa prosodie dans "Romances sans paroles". Cadre gravé sur bois sur le titre, qqs vignettes in texto. Couv. à l'adresse de "Paris, Dentu". Complet du f. d'annonce in fine. Petit cachet de collectionneur dans le coin sup. g. de la lettre. Etiq. ancienne du libraire Charpentier à Mâcon au verso de la couv.
