Napoléon Eugène Louis BONAPARTE. 1856-1879. PRINCE IMPERIAL. Dessin aut. avec apostille signée. 19 octobre 1866.
Estimation :
3500
Description
1 pp. in-4 oblong, dessin à la plume, monté sur carton annoté de l’abbé Misset.
Dessin de marine du jeune Prince Impérial âgé de dix ans, représentant 7 vaisseaux de la marine à voile engagés dans un combat naval. Le dessin est daté et signé « Louis Napoléon » avec ce très charmant envoi à son précepteur : A Monsieur Monnier que j’aime de tout cœur ». Les dessins de marine du Prince Impérial sont très rares.
PROVENANCE : Collection de l’abbé Misset qui l’avait acquis auprès de Max Egger (1861-1919), grammairien, fils de l’éminent orientaliste et helléniste Emile Egger (1813-1885) ; à la suite de Mlle de Trevillers, Max Egger avait été le principal héritier de Francis Monnier, le premier précepteur du Prince Impérial ; nommé en 1863, Monnier s’était vu contester sa méthode pédagogique auprès du prince et fut remercié en 1867 ; l’éducation du jeune prince fut alors reprise sous la direction d’un gouverneur, le général Frossard, assisté principalement d’Augustin Filon, et d’Ernest Lavisse. Monnier cédera plusieurs papiers, devoirs et surtout de précieux dessins du prince enfant à ses descendants. La collection fut ensuite rachetée par l’abbé Misset au début du XXe siècle.
Dessin de marine du jeune Prince Impérial âgé de dix ans, représentant 7 vaisseaux de la marine à voile engagés dans un combat naval. Le dessin est daté et signé « Louis Napoléon » avec ce très charmant envoi à son précepteur : A Monsieur Monnier que j’aime de tout cœur ». Les dessins de marine du Prince Impérial sont très rares.
PROVENANCE : Collection de l’abbé Misset qui l’avait acquis auprès de Max Egger (1861-1919), grammairien, fils de l’éminent orientaliste et helléniste Emile Egger (1813-1885) ; à la suite de Mlle de Trevillers, Max Egger avait été le principal héritier de Francis Monnier, le premier précepteur du Prince Impérial ; nommé en 1863, Monnier s’était vu contester sa méthode pédagogique auprès du prince et fut remercié en 1867 ; l’éducation du jeune prince fut alors reprise sous la direction d’un gouverneur, le général Frossard, assisté principalement d’Augustin Filon, et d’Ernest Lavisse. Monnier cédera plusieurs papiers, devoirs et surtout de précieux dessins du prince enfant à ses descendants. La collection fut ensuite rachetée par l’abbé Misset au début du XXe siècle.
