Lot n° 68

Théodore de BANVILLE. 1823-1891. Écrivain poète, ami de Baudelaire.6 L.A.S. 1848-1875. 8 pp. 1/2 in-8 et in-12. •1848 : remerciements à la suite des éloges adressées à Banville pour son article ; (…) Votre suffrage a toujours été...

Estimation : 200 / 400 €
Adjudication : Invendu
Description
précieux pour moi ; mais à l’avenir, c’est celui de tous que j’ambitionne le plus (…).
•187- : Il ne peut recevoir ses amis Mairat et Valade car son petit Georges est dangereusement malade.
•1874 : son fils est guéri après deux opérations douloureuses ; Je suis en retard pour toutes choses et principalement pour des travaux attendus ; aussi me sera-t-il bien difficile d’en entreprendre de nouveaux (…).
Cependant il prend à cœur de le satisfaire pour vous et pour les artistes qui vous entourent (…).
•Février 1875 : Je connais un poëte qui ne manque pas de talent et qui est malade et malheureux comme je l’ai été si longtemps (…). Il s’agit d’Edmond Leclaire, qui a du quitté ses fonctions au télégraphe pour raison de santé et un peu à cause de ses opinions politiques. Ses démarches avec La Bédolière, ont échoué au National mais il songe maintenant à l’Evènement.
•Août 1875 : Certes le nom de Catulle Mendès écrit à la première page de vos poèmes, est pour moi la meilleure des recommandations, et parmi les poètes modernes, je ne connais pas d’artiste plus parfait que lui ; et à propos de ses vers : J’ai été pénétré par une sorte de volupté, intense, triste et profondément musicale. Les strophes très modernes, très personnelles, d’un raffinement nouveau et qui est bien à vous, donnent une sorte de délicieuse chair (…).
•1848 : remerciements à la suite des éloges adressées à Banville pour son article ; (…) Votre suffrage a toujours été précieux pour moi ; mais à l’avenir, c’est celui de tous que j’ambitionne le plus (…).
•187- : Il ne peut recevoir ses amis Mairat et Valade car son petit Georges est dangereusement malade.
•1874 : son fils est guéri après deux opérations douloureuses ; Je suis en retard pour toutes choses et principalement pour des travaux attendus ; aussi me sera-t-il bien difficile d’en entreprendre de nouveaux (…).
Cependant il prend à cœur de le satisfaire pour vous et pour les artistes qui vous entourent (…).
•Février 1875 : Je connais un poëte qui ne manque pas de talent et qui est malade et malheureux comme je l’ai été si longtemps (…).
Il s’agit d’Edmond Leclaire, qui a du quitté ses fonctions au télégraphe pour raison de santé et un peu à cause de ses opinions politiques. Ses démarches avec La Bédolière, ont échoué au National mais il songe maintenant à l’Evènement.
•Août 1875 : Certes le nom de Catulle Mendès écrit à la première page de vos poèmes, est pour moi la meilleure des recommandations, et parmi les poètes modernes, je ne connais pas d’artiste plus parfait que lui ; et à propos de ses vers : J’ai été pénétré par une sorte de volupté, intense, triste et profondément musicale. Les strophes très modernes, très personnelles, d’un raffinement nouveau et qui est bien à vous, donnent une sorte de délicieuse chair (…).
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