AGUTTES. Neuilly-sur-Seine. Hôtel des ventes de Neuilly. MERCREDI 3 NOVEMBRE 2021 à 14h00 - LIVRES & ŒUVRES SUR PAPIER. VOUS pouvez enchérir - En live, sur la plateformes Drouot Live (+1,8 % HT) Et Interenchères Avec inscription. Ou Par ordres d’achat ou enchères téléphoniques en envoyant directement votre demande d’ordre d’achat ou votre réservation de ligne à l’étude. Tel : +33 (0)1 47 45 93 06 - E-Mail : livres@aguttes.com - Pour enchérir le jour de la vente, n'oubliez pas de vous inscrire avant le mercredi 03 novembre 11h00

Mercredi 3 novembre 2021

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DROUET Juliette (1806-1883) actrice, maîtresse de Victor Hugo.L.A.S. «Juliette», 2 juillet [1844], à Victor HUGO; 4 pages in-8. «Vous aviez bien compté sans votre autre, mon cher amour, pour lire vos moralités. Mais surtout, vous aviez compté...

Estimation : 600 - 800
Adjudication : Invendu
Description
sur les autres péronnelles de toutes sortes qui ne m'ont pas laissé un instant de répit jusqu'à présent. Mme Triger et son chien jusqu'à près de six heures; puis ensuite, la mère Lanvin que je n'avais pas vue depuis un mois, me venait savoir de nos nouvelles et puis la pauvre femme m'a appris en même que ce pauvre vieux St Hilaire était tombé en paralysie depuis trois semaines. Pauvre digne homme les larmes m'en viennent aux yeux en t'écrivant cela: voilà plus de vingt ans que je connais ce vieillard, que je n'en ai jamais entendu dire que les choses les plus honorables. Il est vraiment navrant de penser que le pauvre vieillard n'a pas trouvé un appui, pas un secours dans son pays après avoir consacré toute sa vie à des travaux si non utiles, au moins consciencieux. Pourquoi ne suis-je pas la providence? [...] Je t'aime»...L.A.S. "Juliette", 2 July [1844], to Victor HUGO; 4 pages in-8. "You had counted on your other, my dear love, to read your moralities. But above all, you had counted on the other peronnelles of all kinds who have not given me a moment's respite until now. Mme Triger and her dog until nearly six o'clock; then mother Lanvin, whom I had not seen for a month, came to me to find out our news, and then the poor woman told me at the same time that poor old St Hilaire had been paralysed for three weeks. Poor worthy man, tears come to my eyes as I write this to you: I have known this old man for more than twenty years, and I have never heard anything but the most honourable things about him. It is truly distressing to think that the poor old man has not found any support, any help in his country after having devoted his whole life to work that was not useful, but at least conscientious. Why am I not providence? [...] I love you"...
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