Lot n° 124
Sélection Bibliorare

[Recueil] - Très humble et très respectueuses supplications des états de la province de Languedoc, au Roi, sur le commerce des grains. S. l., 1768. In-12, 12 pp., bas. fauve marbré de l’ép., dos à nerfs orné, coiffe sup. abîmée, manque la...

Estimation : 100 /
Description
coiffe inf. Higgs 4369. (Rel. à suite :) Lettre du Parlement de Provence au Roi, sur le commerce des bleds, présentée au Roi le 18 décembre 1768. Aix, 1768, (1) f., 40 pp. Higgs 4368. - Nouvelles réflexions d'un citoyen sur l'édit de décembre 1770. S. l., 1771, 64 pp. - Réponse au citoyen qui apublié ses réflexions. 2e éd. avec des observations. S. l. n. d. 61 pp. - [Linguet] - Observations sur l'écrit intitulé : Protestations des princes. S. l. n. d. (1771), 24 pp. - Réponse à la lettre d'un magistrat à un duc et pair, sur le discours de M. le Chancelier au lit de justice, du 7 décembre 1770. S. l. n. d. 113 pp. - Au public abusé. S. l. n. d. 23 pp. - Ils reviendront, ils ne reviendront pas ; ou le pour et le contre. S. l. n. d. 60 pp. - Entretien d'un militaire et d'un avocat sur les affaires présentes. S. l. n. d. 47 pp. - Lettre de M. de C** à M. de St**** à Rouen. Servant de réponse à la lettre du Parlement de Normandie au Roy, en date du 8 février, sur l'état actuel du Parlement de Paris. S. l. n. d. 43 pp. - Lettre de M. D. L. V. Avocat au Parlement de Paris, à Mci-devant Président du même Parlement. Paris, 1771 . 47 pp. -[Villette, marquis de] - Le Soufflet du Maître Perruquier à sa femme. S. l. n. d. 36 pp. - Le coup de peigne du Maître Perruquier, ou Nouvel entretien du maître perruquier avec sa femme. S. l. n. d. 12 pp. - Lettres du Maître Perruquier à M. le Procureur-Général, concernant les Magistrat de Rouen et les Dames de Paris. Paris, 1771 . 11 pp. - Réflexions d'un Maître Perruquier sur les affaires de l'État. S. l. n. d. 22 pp. - Lettre d'un avocat de Paris, aux Magistrats du Parlement de Rouen, au sujet de l'Arrêt de cette Cour, du 15 avril 1771. S. l., 1771. 10 pp. La plupart de ces pièces parues en 1771 ont rapport avec l'opposition parlementaire au chancelier Maupeou.
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